• Comme une fois par mois, le jeudi soir, je suis retourné à mon Atelier Cuisine, avec Damien, François, Sylvie et Chrystelle, encadrés par Claire qui elle au moins mets la main à la pâte, pas comme certaines accompagnatrices dans le passé qui se posaient dans un coin et attendaient qu'on se mettes à table ! Après tout, hormis François qui a un CAP de cuisinier, aucun de nous n'est un professionnel des fourneaux - et un petit coup de main n'est jamais de refus !

    Nouvelle séance donc avec des plats qui fleurent bon la Normandie ou en lien avec la Nature !

    Pour commencer, Sylvie et Chrystelle, nous ont concocté une salade de tomates et concombres avec un accompagnement à base de vinaigre balsamique - et comme personne n'était contre le mélange sucré/salé, réhaussé d'une pointe de miel ! Du miel liquide en flacon !

    Par la suite, François et Claire nous ont préparé des escalopes à la Normande ! François a tout préparé - couper les champignons notamment ! - et Claire a surveillé la cuisson !

    Tout de suite la recette, en direct de la cuisine !

    Escalopes de dinde à la NormandeAtelier Cuisine - Saison 3 - Séance 2
     
    Ingrédients :
    Pour 6 personnes
    6 escalopes de dinde ou de poulet
    Crème fraîche
    Champignons de Paris
    Beurre
    Fromage râpé
    Poivre
    Sel
    Éventuellement, on peut "assaisonner " avec des alcools locaux, Calvados ou Cidre !
     
    Préparation : 15 minutes
    Préparation : 5 minutes - Cuisson 10 minutes
    1. Etape 1

      A servir avec du riz ou des pâtes.
    2. Etape 2

      Dans une casserole d'eau bouillante salée faite cuire vos pâtes (je vous conseille des spaghettis). Nous, nous avions opté pour du riz basmati !
    3. Etape 3

      Dans une poêle faire cuire les escalopes avec du beurre, ajouter les champignons et 4 cuillères à soupe de crème fraîche ; saler et poivrer.
    4. Etape 4

      Lorsque les pâtes sont 'al dente' égoutter-les et disposer-les dans un plat ; ajouter du fromage râpé à votre convenance puis disposer les escalopes à la crème et les champignons. C'est délicieux !.

     

    ATTENTION, précise l'auteur de cette recette, prise sur Marmiton.org : pour celles qui font attention à leur ligne cette recette est assez calorique mais vous pouvez tout de même vous régaler en supprimant la crème fraîche et le fromage râpé.

    Et pour le dessert, Damien avait suggéré un Gâteau au miel moelleux, qu'il a réalisé avec moi ! C'était bon aussi mais un peu sec et il aurait été bon de rajouter de la crème anglaise ou de la chantilly !

    La recette !

    Gâteau au miel moelleux

    (il existe des variantes au rhum, au chocolat !).

    Ingrédients :

    250 g de farine
    100 g de sucre
    200 g de miel d'oranger
    20 cl de lait chaud
    1 sachet de levure
     
    Préparation : 1 heure 05
    Préparation : 20 minutes - Cuisson : 45 minutes
    1. Etape 1

      Préchauffer le four à 160°C (thermostat 5-6).
    2. Etape 2

      Mélanger farine, levure et sucre.
    3. Etape 3

      Dans un bol à part, faire chauffer le lait et y délayer le miel jusqu’à ce qu'il soit complètement incorporé (bien remuer délicatement, cela prend 2-3 minutes selon si le miel est bien liquide ou un peu plus crémeux).
    4. Etape 4

      Réunir les deux mélanges et bien remuer jusqu'à obtenir une pâte lisse (ne vous inquiétez pas, elle doit être assez liquide). Verser le tout dans un moule chemisé ou en silicone.
    5. Etape 5

      Enfourner la préparation pendant 45 min, bien surveiller la cuisson avec la technique du couteau.

      Il est possible de varier la nature du miel, ici miel d'oranger au doux parfum mais vous pouvez aussi opter pour le miel d'acacia, plus fin, ou le miel de montagne qui a plus de caractère. A décliner selon les goûts !! Un miel  liquide permets de mieux le travailler, plus facilement !

    Voilà, comme à chaque Atelier, on s'est bien régalé et on a fini par un échantillon de tisanes, thès et du café ! Ai opté pour un café avec du lait car suis un gros consommateur de café qui stimule mes neurones toujours en ébullitions !

    Je vous donne rendez-vous début décembre 2018 - avec les mêmes copains et copines - pour la séance 3 ! Au menu, nous aurons du saumon ! Noël approchant oblige !

    A bientôt les loulous ou devrais-je dire les gourmets ?


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  • Après un peu plus d'un an d'interruption, les Ateliers Cuisine sont de retour, en ce mois d'octobre 2018 - pour une Saison 3 ! Cette fois, moi et quatre de mes connaissances et voisins, Damien, François, Sylvie et Chrystelle sont encadrés par Claire, une éducatrice, qui elle mets la main à la pâte - ce qui ne fut pas le cas de tous les encadrants par le passé ! C'est très agréable quand on rencontre un "problème " technique !

    Au menu ce soir : carottes râpées et concombre, tagliatelles à la bolognaise et salade de fruits ! Mais tout ne se passa pas exactement comme prévu !

    En fait, les soucis vinrent de l'entrée ! D'abord on ne trouva pas de concombre au supermarché où François se chargea des courses. Rupture de stock ! Mais plus embêtant, des appareils électriques pour râper les carottes du local cuisine où nous officions ce jeudi soir, pas un seul ne fonctionnait ! Et pas une seule râpe manuelle ! Nous dûmes alors, Damien et moi, couper les carottes en petits cubes. C'est sûr du coup, ça croquait sous la dent !

    Pour les tagliatelles à la bolognaise, recette que nous avons déjà du faire, je ne m'étendrais pas ! Les tagliatelles sont une sorte de pâtes du centre et du nord de l'Italie. Selon la légende, elles ont été inventées en 1487 par un cuisinier talentueux de Bologne, au mariage de Lucrèce, d'après la coiffure blonde de la jeune femme. En réalité, c'est une histoire inventée par l'humoriste Augusto Majani, en 1931 !

    Il est donc naturel de les associer traditionnellement à la sauce bolognaise (culturel plus que naturel en fait !). Celle-ci se cuisine à partir de viande de bœuf, de coulis de tomates et d'oignons.

    En fait, je crois bien que ce sont des spaghettis bolognaises que nous avons cuisinés lors d'une précédente séance de nos Ateliers Cuisine ! Mais en réalité, c'est là un plat plutôt populaire en dehors de l'Italie car à Bologne, on préfère cuisiner notre fameuse sauce davantage avec des tagliatelles ou des lasagnes !

    Ce plat fut l'apogée de cette soirée bien mal engagée avec nos carottes "ratées" et pas râpées !

    On termina par une salade de fruits de saison en ces temps radieux, en mélangeant pommes, oranges, poires, bananes et kiwis jaunes ! Une salade de fruits "jolie, jolie" comme la chanta Bourvil !

    J'emportais du rab de tagliatelles à la bolognaise dans un tupperware pour chez moi - et j'ai oublié de préciser que nous avions eu aussi une laitue en entrée et pour accompagner le plat principal du gruyère râpé (pré-râpé !), du parmesan et des tomates cerises !

    Bonne soirée aussi pour s’enquérir des nouvelles  des uns et des autres ! Expérience qui sera renouvelée chaque mois en 2018 - 2019 !

    A bientôt !


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  • Les traditions de NoelTout d'abord, je vous souhaite à toutes et tous un joyeux Noel 2017 !

    Noel est une fête chrétienne célébrée le 25 décembre qui commémore la naissance de Jésus ! De nos jours, c'est aussi  - surtout diront certains ! - une fête commerciale où il est de coutume d'offrir des cadeaux ! Mais surtout, c'est l'occasion de se réunir en famille ! La naissance de Jésus marque l'an zéro de notre ère !

    Un certain nombre de traditions - qui emprunte aussi aux mythes païens ! - est associé à Noel ! Passons en quelques unes en revue très rapidement !

    La crèche est une reconstitution de l'étable qui vit naitre le petit Jésus à Bethléem ! Il semble que la tradition de la crèche de Noel date du XIII° siècle et qu'elle ait été instaurée par Saint François d'Assise. En 1223 il organisa une scène vivante de la crèche avant de célébrer la messe de Noel !

    Cette initiative fut reprise dans toute l'Italie avant de gagner une grande partie de l'Europe dont la France.

    Peu à peu, les crèches vivantes furent remplacées par des crèches de figurines. La Provence et l'Italie développèrent l'art des figurines. On connaît les célèbres santons de Provence qui représentent tous les métiers artisanaux de Jésus n'est rajouté qu'à minuit !

    Le sapin de Noel est une tradition païenne christianisée elle aussi au Moyen-âge. L'arbre est le symbole du renouveau de la vie, thème déjà présent dès l'antiquité. L'arbre à feuilles persistantes symbolise l'immortalité dans l'Egypte antique., en Chine et chez les Hébreux.

    Selon d'autres sources, le sapin de Noel trouverait son origine chrétienne en Gaule celtique à l'initiative du missionnaire saint Colomban qui fonde en 590 de notre ère le monastère de Luxeuil au pied des Vosges. Le saint accomplit alors un acte syncrétique en organisant une sorte de célébration au pied d'un sapin pour évangéliser les paysans du coin !

    La bûche de Noel est à l'origine une véritable bûche avant d'être un dessert pâtissier ou glacé ! Elle devait brûler le plus lentement possible. Au minimum , elle devait se consumer durant toute la nuit de Noël, mais dans certaines régions elle devait tenir jusqu'à l'Epiphanie ! Pour certains, la tradition de la bûche de Noël prolonge la coutume des feux de joie celtes des fêtes du solstice d'hiver.

    Le Père Noel prends différentes incarnations selon les époques et les pays, Saint Nicolas par là....Le personnage chanté par Tino Rossi, idole de nos grands-mères, avec son accoutrement rouge est au départ une invention publicitaire de Coca-Cola ! Je ne développe pas plus car cette tradition là est bien connue !

    Encore bonnes fêtes de Noel à vous !

    A bientôt !


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  • Bonsoir mes amis !Trajectoires Eclectiques N°4

    Comme vous l'aurez certainement compris, j'attache beaucoup d'importance à mes blogs - et plus encore je suis fan de littératures, tant de lecture que d'écriture ! Mais "La Bibliothèque-éclectique" n'est pas ma première expérience éditoriale - loin de là ! C'est ce que je vais vous raconter aujourd'hui !

    En effet, en classe de Sixième, au Collège de Ouistreham, alors que j'avais entre 11 et 12 ans, on devait être après les vacances de la Toussaint - ou celles de Février  - et je fus captivé par un reportage dans Croque-Vacances, une émission jeunesse de TF1 de l'époque avec Claude Pierrard et des marionnettes de lapin, qui diffusa un reportage sur des enfants de mon âge qui avaient réalisé un fanzine ! Dès lors, l'idée me vint de faire pareil et c'est ainsi que je lançais Jeunes magazine  !

    Jeunes magazine était donc un fanzine, entièrement réalisé à la main - et vendu au porte-à porte dans ma petite ville ! Je composais le contenu moi-même - en m'appuyant notamment sur le pro-zine de Jean Chalopin auquel j'étais abonné et qui s'appelait Image par image ! Je rédigeais donc des articles sur Astérix, les Mystérieuses Cités d'Or, Inspecteur Gadget, des jeux, la réalisation d'un dessin animé et vendait cela pour la somme modique de 2 francs ! A l'époque, en 1983, nous n'avions pas des traitements de texte et des imprimante comme maintenant et je passais du temps à recopier les articles !

    Ce fanzine devait être le premier de mon collège et suscitait l'intérêt et même l'admiration de ma prof de Français Madame Bibault qui me proposa de le réaliser dans le cadre de la classe - ce que je refusais ! Deux autres jeunes de ma classe lancèrent un clone de mon fanzine, sacrés Yann G. et John P. qui se lancèrent dans la brèche ouverte !

    Je m'étais adjoint un comparse dès le début, un certain Thomas L. qui faillit faire capoter mon initiative en faisant rentrer dans le projet un autre type dont le père, dans l'administration, avait de gros moyen technique d'impression et qui tenta même de m'évincer ! Je ne me laissais évidemment pas faire !

    Finalement, Jeunes magazine mourut de sa belle mort après cinq numéros et un hors-série, à l'été 1984 alors que j'allais entrer en Cinquième ! Les petits enfants de bourgeois de la ville durent se réjouir et me le firent savoir, moi, le nouveau-venu de Paris, en Normandie, à l'été 1983 - pas encore accepté dans cette ville aux gens étroits d'esprits !

    "Alors Sylvain ! Tu as arrêté ta feuille de chou !" m'entendais-je dire ! Qu'importe ! Je continuais à leur damner le pion en Rédaction - cela les énervait et moi cela me réjouissait !

    Voilà ! Malgré les apparences, ne n'avais aucun ressentiment mais du par contre affronter pas mal de réticences et de jalousies ! Les jeunes étaient comme ça !

    A bientôt !

    PS : Je réalisais des années plus tard d'autres petites "brochures" - notamment en classe de Troisième - mais qui était cette fois à destination de ma seule famille - et en particulier de ma Grand-mère qui vivait à 250 kilomètres !


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  • Retrouvons nous une dernière fois avec la fin de la nouvelle opposant deux races aliens dans un conflit qui va influer sur l'histoire géologique de la Terre !

     

    Cataclysme - Episode 3

    Tiss’harl était plongé dans sa méditation. Si par malheur le Sommet échouait, les combats entre la flotte Saurienne et la flotte des Gris iraient en s’intensifiant. Déjà Tss’enk profitait des préparatifs des débats pour amasser plus de vaisseaux derrière la ceinture d’astéroïdes. Des sondes n’avaient noté aucun mouvement des destroyers des Gris qui semblaient dans l’expectative.

    Si la bataille se rapprochait, il y aurait inévitablement un bombardement planétaire. La défense anti-aérienne de Sol III était très rudimentaire. Le conflit contre le Peuple-Serpent était retombé depuis longtemps et il n’y avait plus de police locale à part les douaniers qui veillaient à ce que la Fleur de Nectar ne quitte pas la juridiction de la planète. Le seul soutien militaire venait des autres systèmes de l’Imperium. Il n’y avait pas d’autres ennemis dans les systèmes proches capables de rivaliser. L’empereur n’avait pas demandé à ce que l’on explore les autres planètes du système, pourtant on n’ignorait pas qu’il y avait deux formes de vie sur Mars, une sur Vénus et même une cachée sur Pluton. Mais on ignorait tout de ces races.

    Peut-être ces races inconnues deviendraient t’elles des ennemis potentiels un jour ? Qu’elles se jetteraient tels des charognards sur les restes de Sol III. Des espions Sauriens avaient intercepté des communications des Gris autour de Pluton après qu’un de leurs vaisseaux éclaireur, qui comptait 20 membres d’équipage se fut pris une torpille et se fut écrasé sur l’astre froid Les Gris avaient envoyé une mission de sauvetage mais on n’avait retrouvé aucun survivant, des corps de Gris du vaisseau torpillé avaient été emportés par quelques indigènes, à d’autres ils manquaient des organes vitaux. Si les Sauriens de Sol III survivaient à ce conflit, ils auraient sans doute à mater d’autres protagonistes locaux. Si des races inférieures s’emparaient de technologie des Gris, ce serait un problème pour tout le monde.

     

    Le Consul ouvrit un tiroir de son grand bureau d’ébène qui était à ses proportions. Il en sorti une statuette de 15 centimètres de haut que des douaniers avaient saisi il y a 2000 ans. Il s’agissait d’une représentation de Yig qui contenait une cache pour dissimuler des graines de Fleur de Nectar. Quels liens existaient-ils donc entre les Fleurs et ce Peuple-Serpent presque en extinction, mourant quelque part sous la terre. La chose n’était pas claire. Les Pteridraconis, administrateur de Sol III, ne régnaient, et les Sauriens avec eux que sur un tiers de la planète. Là aussi, il devait y avoir d’autres races qui se terraient sur la planète même dans des endroits reculées, attendant leur heure pour s’établir. Et que dire de ces petits animaux appelés mammifères, si appréciés des Gris. Étaient-ils amenés à supplanter le reptile, qu’il fut Serpent ou Saurien ?

     

    Tiss’harl cacha la statuette dans son tiroir qu’il ferma à clé. C’était un objet qu’il était dangereux de posséder, même pour un Consul Planétaire. Mais le grand Ptéridraconis savait que si la surface était bombardée, on ne pourrait pas procéder à une évacuation par l’espace de toute la population. Il faudrait qu’eux aussi se réfugier à leur tour dans les catacombes, l’endroit le plus propice semblant être les Terres Froides du Nord-Est. Il faudrait au préalable en chasser le Peuple-Serpent mais il était connu que ceux-ci n’y étaient pas nombreux, préférant les régions de l’Équateur, plus favorables à leur métabolisme. Une fois dans les Catacombes, les Ptéridraconis entreraient à leur tour en sommeil.

    Cataclysme - Episode 3

    ***

    Le Sommet dura 60 jours de Sol III. On ne parvint à aucun accord. Au contraire, les choses s’envenimèrent. Les Sauriens s’étaient montré intransigeant et les Gris semblaient préparer quelque chose.

    Les flottes ne tardèrent pas à se mettre en mouvement. Les combats reprirent.

     

    Autour de Mars et en orbite de Vénus, des vaisseaux de guerre s’affrontèrent à nouveau.

     

    Le ciel de Mars renfermait toutes les nuances de rouge que contenait la palette chromatique, étalé en un crescendo progressif et subtil de nuances.

     

    Eo se tenait avec son père près du Canal de la Renaissance où il péchait la Truite de Fer avec sa flûte harmonique. Les deux personnages cessèrent toute activité quand ils virent les deux bâtiments de guerre traverser le ciel, au dessus de la troposphère.

     

    Mars abritait depuis quelques centaines de milliers d’années deux civilisations qui n’échangeaient guère entre elles mais au moins, hormis quelques incidents, ne se combattaient pas.

     

    La plus ancienne de ces civilisations était le peuple auquel appartenait Eo et sa famille. C’étaient de grands êtres humanoïdes, très portés faire la spiritualité, doté de pouvoirs psychiques, exprimant un art fait de masques rituels. Ils avaient bâtit les grands et nombreux canaux qui parcouraient la planète du des pôles où ils drainaient l’eau jusqu’à l’Équateur. Depuis 3000 ans, ils maîtrisaient un moyen de transports appelé «  Chariots à Vents ».

     

    L’autre race n’était pas humanoïde. C’étaient des êtres à grosse tête – en fait leur corps était une immense tête - et dotés de tentacules. Ils vivaient reclus sur les pentes envahies d’herbe rouge et à l’intérieur de quelques grands volcans dans l’hémisphère sud. Ils n’avaient que crainte pour les autres Martiens et les évitaient au possible. Ils utilisaient l’énergie des volcans pour bâtir de gigantesques forges où ils manipulaient les métaux. Ils avaient commencé depuis 400 ans à bâtir quelques machines utilitaires.

     

    Des représentants de cette deuxième race se traînèrent sur les pentes du Mont Olympus pour observer le combat entre les deux mastodontes des étoiles.

     

    Le vaisseau des Sauriens, gravement touché -ses propulseurs de sustension hors service- finit par s’abîmer dans l’atmosphère. Il s’écrasa à grand fracas en déplaçant des nuages de poussière rouge en grande quantité près d’un volcan éteint où vivait une communauté de technicien de la race à grosse tête. Ceux-ci, trop en avance sur leur temps, s’étaient vu banni du reste de leur peuple.

    Lorsque le déluge de débris fut retombé, dans les semaines qui suivirent, les techniciens à grosse tête en disgrâce, surpassant leur appréciant s’approchèrent de l’appareil abattu des Sauriens. Tout l’équipage était mort.

    Les grosses têtes furent fascinées par le niveau technologique de l’épave. Plusieurs équipements étaient intacts dont les armes et des véhicules d’assaut dans les soutes. Les savants virent tout de suite l’intérêt que pouvait avoir cette découverte. En quelques semaines, ils désossèrent totalement l’immense appareil dont il ne demeura pas une plaque de tôle, ni un boulot sur place.

    Dans les siècles qui suivirent, cette communauté de banni devait revenir en grâce en fournissant un rayon capable de délivrer un feu ardent et des engins de guerre. Il s’ensuivit une guerre civile entre les grosses têtes et quelques incidents supplémentaires avec les humanoïdes de Mars.

     

    Au bout du compte, des millions d’années supplémentaires s’écoulant, les humanoïdes de Mars développèrent davantage leur spiritualité et maintinrent confiné les vues belliqueuses des êtres à grosses têtes grâce à leurs pouvoirs mentaux qui eux aussi s’étaient développés. Usant de leurs capacités, ils usèrent d’un art de l’illusion et demeurèrent cachés à la vue de l’autre race.

    Les Grosses Têtes finirent par envisager de s’en prendre aux Humanoïdes Martiens mais furent pris de dépit lorsqu’ils comprirent que les gigantesques cités blanches de ceux-ci avaient disparu de leur champ de perception. Ils devaient bâtir un autre plan, se tournant vers Sol III, maintenant baptisé Terre, étudiant l’espèce qui avait remplacé les Sauriens, à savoir cet étrange bipède qui constitue l’Humanité. Les Grosses têtes firent profil bas quand l’Atlantide imposa son rayonnement à tout le Système Solaire- malgré un unique incident à cette époque- redirigèrent leur loupe à l’aube de la Révolution Industrielle. Mais ceci est une autre histoire que le célèbre H.G.Wells a déjà racontée avec brio.

     

    En orbite de Vénus, la ligne de combat des vaisseaux Sauriens fut bientôt rompue par une habile et audacieuse manœuvre du commandant Gris. Les Reptiles avaient l’avantage du nombre mais les navires Gris étaient mieux armés. Leur technologie avait des millénaires d’avance.

     

    Depuis la surface, sous les couches de nuages de l’atmosphère dense de Vénus, les habitants de ce monde, dont les cités étaient abritées sous des champs de force qui d’ordinaire les protégeaient des vents à 400 km/h. –mais qui en cette circonstance les tenaient à l’écart des retombés de débris de la bataille- les Vénusiens éthérés scrutaient l’issue des événements en orbite grâce à leurs télescope à infrarouge. C’était un peuple très isolationniste. Toutefois, ils n’aimaient pas le Peuple Sauriens et souhaitait la victoire des forces des Gris.

     

    Mais, ces batailles au dessus de Mars, de vénus, dans la ceinture d’astéroïde n’était qu’une diversion. Une flotte de six vaisseaux de guerre de gros tonnage remorquait depuis l’espace profond, à l’aide de rayon tracteurs surpuissants, une énorme masse, un gigantesque astéroïde. Les Gris envisageait de le lancer contre Sol III pour que le corps céleste percute la planète. Cela aurait pour conséquence de déclencher un hiver nucléaire et anéantirait la Colonie de Ptéridraconis. C’était certes une mesure extrême. Les Gris s’étaient longuement concertés sur la marche à suivre. Mais cela sauverait les vie de nombreux équipages de leur nation, déjà au bord de l’éclatement après des décennies de guerres et de conflits locaux.

     

    L’astéroide embrassa tout le ciel de la planète, consumant l’oxygène. Des quantités phénoménales de terre et de poussière furent retournées par l’impact. Des étendues de forêts et de jungles à l’échelle de continents furent incinérées ainsi que la faune et les Pteridraconis L’Empire Saurien ne se remit jamais de cette déroute et ceci devait annoncer le début de la fin.

     

    Toutefois quelques centaines –sur une population de plusieurs millions – de Ptéridraconis survécurent sur Sol III. Ils hibernèrent sous la Terre dans ce qui est actuellement la Mongolie des hommes. Un jour leur réveil viendrait Alors ils réclameraient leurs droits sur ces terres !

     

    ***

     

    Voilà ! Ainsi se termine cette nouvelle qui fut un de mes premiers textes écrits entre 2003 et 2005 - comme vous le voyez, il comporte pas mal de défaut et c'est pour cela que je ne le publierais jamais en recueil !

     

    Un recueil par contre, vous pouvez en acquérir d'ores et déjà un de moi aux Editions EdiLivre (c'est de l'autoédition) ! Cela s'appelle "Territoires de l'Imaginaire - Volume 1'" et il vous en coûtera 14 euros pour un exemplaire papier et 1,99 euros en pdf !

     

    Si vous appréciez mon travail sur ce blog, n'hésitez pas à me donner un coup de pouce ! Acheter d'abord en pdf si vous voulez "soupeser" l'ouvrage  - qui fait 160 pages et contient une dizaine de textes -  puis si vous êtes conquis, portez vous acheteur de la version matérielle - et laissez des commentaires sur le site EdiLivre !

     

    Au moins un autre recueil est dans mes cartons - si le premier marche et espère bientôt me remettre à produire des nouvelles !

     

    C'est classé en "roman d'aventures" !

     

    Le lien :

    https://www.edilivre.com/catalog/product/view/id/839791/s/territoires-de-l-imaginaire-volume-1-sylvain-richard/category/1566/#.WVF2XNali1E

     

    A bientôt !


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  • Trajectoires Eclectiques N°3Bonjour à toutes et tous ! Bienvenue dans mes univers !

    Après vous avoir parlé de mon parcours académique, je vais maintenant vous entretenir de mon goût pour l'écriture et vous présenter rapidement toute ma production scripturaire - depuis 2005 et même avant !

    On a pu dire de moi que j'intellectualisais tout ce que je fais ! Je suis dans ce domaine du même avis que Michel Onfray qui n'imagine pas passer du temps à s'avachir ! La vie de l'esprit représente beaucoup pour moi, qui n'ai par ailleurs jamais été doué en sport !

    Par certains aspects, je suis un peu "graphomane" - mais quand je dis cela c'est plus une boutade car je ne considère pas cet aspect de moi comme pathologique - et je pense que ce que j''écris est encore un minimum sensé !

    "Graphomane : personne atteinte de graphomanie, d'une impulsion maladive poussant à écrire continuellement." A vous de juger !

    Avant de me lancer dans l'écriture de nouvelles - après deux tentatives de romans en 2000 et 2003 - et des histoires plus courtes à partir de 2005, j'écrivais déjà auparavant ! Sans vous raconter que j'ai toujours été doué en dissertation dès l'école primaire, le collège et le lycée, j'ai véritablement commencé à poser par écrit des histoires de fictions lorsque je fréquentais des clubs de jeux de rôles ! D'abord le Club Sortilèges de 1990 à 1997  - avec une pause en 1992 -1993 pour raisons de santé ! - puis le Club Pentacle entre 2000 et 2004 ! Je mettais alors en forme des comptes-rendus de parties ! D&D, Vampires, Changelin, Castle Falkenstein, L'Appel de Cthulhu, Star Wars... Je possède encore ce matériel et en ferais peut-être quelque chose un jour ! Et déjà ce besoin d'imaginaire qui m'a par la suite joué des tours !

    Donc ensuite, il y eu une abondante production de nouvelles - plus d'une centaine - essentiellement de 2005 à 2010 - ensuite les études prirent le relais et un job alimentaire aliénant vint tarir ma créativité ! Ce fut dans les genres SF, Fantastique, récits de vie, Historique etc... Quelques publications dans le Calepin Jaune ou Univers d'Outremonde et en 2017, parution prochaine d'un recueil rétrospectif chez EdiLivres ! Il y eut aussi des Ateliers d’Écriture ! Cela doit représenter entre 300 et 1000 pages - Précisons que pour tous ces écrits à partir de 2005, je fais tout sous traitement de texte !

    Je vous ai parlé la dernière fois de ma déconvenue en études de sciences, jeter dehors de la Recherche ! Je me suis aperçu après-coup que ce n'était pas de conduire des expériences qui m'attirait mais de rédiger des articles scientifiques - Écrire quoi ! Déjà ! Alors autant se tourner vers la littérature et plus tard la Philosophie !

    A partir de 2007, je me lançais dans la rédaction au long cours d'un Journal Intime, et n'ai jamais cessé de l'écrire depuis ! On en est au "Volume 11" et le 20 avril 2017, je fêterais jour pour jour les 10 ans ! A l'origine, cela devait être un journal de bord de ma production romanesque puis j'ai étendu et déplacé le propos ! Des volumes d'un peu plus de 150 pages pour le premier opus et de près de 600 pages chaque année depuis 2 ou 3 ans ! Et dont la forme sera remaniée dans l'avenir à partir du Volume 12 !

    Il y eu plus récemment - depuis 2012 lorsque j'étudiais les Cahiers de Paul Valéry, écriture de "Carnets de Réflexions" - Tome 10 à ce jour - nourris de toutes mes lectures en sciences humaines ! Et aussi deux "Carnets de citations" - car il est aussi important de se nourrir à la pensée des autres ! Surtout quand il s'agit d'illustres !

    Plus anecdotique, "Ma Cuisine à Ouistreham" synthétise mes premiers pas dans l'univers de la Cuisine - et les Ateliers Cuisine ! - à côté de mes tentatives avortées d'apprendre le dessin et le jeu d'échecs !

    Et évidemment, de 2007 à 2013, puis à partir de 2015 et pour encore de nombreuses années, mes dissertations, commentaires de textes, exposés, mini-mémoire et mémoire - en attendant quelques théses pluridisciplinaires ! - en Littératures, Histoire, Philosophie, Sociologie, Psychologie, pour les disciplines à venir ! Pour al fac, ai particulièrement étudié Aragon et Valéry encore !

    Je m'engage dans l'introspection avec la rédaction de "Carnets de rêves" qui consignent mes songes mais ne fournissent pas encore de clés des songes !

    Et enfin mes blogs avec plus de 1800 articles tous blogs confondus ! Bientôt le 2000ème billet ! Mais cela vous connaissez puisque là vous êtes dessus !

    Au plaisir d'être lu par vous, esprits éclairés !

    A bientôt !


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  • J'aborde maintenant la retranscription sur ce blog  de mes réflexions incluses dans mon "Carnets de réflexions" Numéro 3 !

    Après, cela vaut ce que ça vaut ! Je lance des pistes !

     

    Il y a de la mort dans la vie et de la vie dans la mort.

    (05/10/2013)

     

    Contre la société capitaliste, le recours au masque. Perte – choisie ?- de notre identité.

    Le masque, la fuite ou la solitude ?

    Le masque comme accessoire social.

    (05/10/2013)

     

    Dormir la nuit, c’est mourir un peu !

    Et moi, cela me déclenche parfois des crises d’angoisses !

    Angoisse : peur sans objet.

    (05/10/2013)

     

    Le sens de la vie ? Trouver sa vocation.Des Réflexions à foison - V

    L’idéal serait d’allier la vigueur et la vivacité de la jeunesse avec l’expérience de l’âge mur !

    Trouver un mentor. La figure paternelle ?

    (06/10/2013)

     

    La possession est un poids.

    (07/10/2013)

     

    Longtemps la connaissance a été l’apanage des aristocrates – de la classe des « guerriers » selon la tripartition sociale de Dumézil – de ceux qui ne devaient pas travailler.

    Puis, c’est devenu la propriété des bourgeois avec le savoir-faire technique qui est apparu au XVIIIème siècle avec l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert.

    Aujourd’hui, les académies sont toujours le lieu de cooptations de gens issus des hautes et grandes écoles tandis que des autodidactes apparaissent dans le milieu ouvrier notamment.

    (09/10/2013)

     

    Aujourd’hui, il y a profusion d’informations – naissance du journal et de la presse au XIXème siècle, de la radio et de la télévision au XXème siècle et de l’internet au passage au XXIème siècle ! Dès lors n’est-on pas confronté à une « bouillie intellectuelle » ou plus aucune pensée ne surnage ?

    Ce foisonnement est-il une chance (la confrontation des idées) ou une malédiction (débat stérile et uniformisation ?) ?

    A voir !

    (09/10/2013)

     

    Le politique est le fondement philosophique de l’individu de base.

    (10/10/13)

     

    Je crois qu’avec l’âge et l’expérience, on se détache des besoins amoureux et de même de la crainte de la mort !

    Sophia contre Éros et Thanatos.

    (11/10/2013)

     

    Quand on connaît bien le fond de la nature humaine, on ne peut qu’être désespéré.

    (14/10/2013)

     

    Le schizophrène n’habite pas le monde. Mais peut-on habiter le monde ? Le fou détient la vérité.

    (14/10/2013)

     

    Je vous dis à bientôt !


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  • On se retrouve donc pour un nouvel Atelier Cuisine, moi, François, Damien, Chrystelle, Sylvie, encadrés par Marie !

    Et cette fois-ci, nous fêtions l'anniversaire de Chrystelle, née en 1968 et qui prends donc 49 ans ! A cette occasions, elle nous a préparé une entrée apéritif à savoir des verrines de rillettes de thon et concombre !

    Tout de suite, cette première recette !

    Verrines de rillettes de thon et concombre :

    Temps de préparation : 15 minutes
    Temps de cuisson : 0 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) : - 1 grosse boite de thon (environ 350g égouttés)
    - 150 g de St Môret
    - 1 petit concombre
    - 1/2 jus de citron
    - vinaigrette selon les goûts
    - 2 cuillère à soupe de ciboulette ciselée
    - sel et poivre
     
    Préparation de la recette :
     
    Coupez en petits dés les concombres. Assaisonnez-les avec de la vinaigrette de votre choix.
    Mélangez le thon avec le St Môret et écrasez-les à la fourchette. Ajoutez le 1/2 jus de citron. Amalgamez bien le tout.
    Salez et poivrez les rillettes. Ajoutez ensuite la ciboulette.
    Dans des verrines, remplissez d'une couche de concombres, puis d'une couche de rillettes de thon.
    Réservez au frais jusqu'au moment de servir.

    Ensuite, le plat principal consista en des hamburgers ! Nous étions un peu en roue libre pour cette seconde recette, ne suivant pas un "protocole" - mais nous avons improvisé d'après les indications de Marie !

    Je vous retranscris ici la "recette" mais en ne suivant pas le format de présentation habituel (Marmiton) !

    Atelier Cuisine - Saison 2 - Séance 6Hamburgers "maison" :

    Pour 6 personnes, il vous faut trois tomates, deux oignons, six steak hachés, six pains spéciaux pour hamburger, des tranches de fromage de deux sortes, du ketchup, de la sauce burger et de la mayonnaise ! Voilà, je crois que je n'ai rien oublié !

    On commence par préparer les composants du burger ! Découper après les avoir lavés les trois tomates en fines lamelles, faire de même avec les oignons et en plus découper une partie de ces oignons en tout petits cubes ! Faire cuire les steak haché selon votre convenance avec ces petits dés d'oignons découpés.

    Puis passer les petits pains au grille-pain ! Disposer ensuite les deux tranches de chaque pain en vis-à-vis sur une assiette ! Badigeonner l'intérieur d'une des tranches de sauce burger et l'autre de ketchup et de mayonnaise ! Puis sur la tranche de pain du bas, disposer deux tomates, au dessus une tranche de fromage, puis le steak haché, ensuite l'oignon et enfin la deuxième tranche de fromage. Recouvrir avec la tranche de pain supérieure, celle que vous avez badigeonné - modérément ! - de ketchup et de mayonnaise ! Réchauffer quelques instants au micro-ondes pour bien amollir le pain !

    Déguster, c'est prêt ! On mange avec couteau et fourchette ou avec les mains "à l'Américaine" !

    On accompagneras ces hamburgers d'une salade avec de la vinaigrette et le reste de tomates découpées en dés et le reste d'oignons, émincés de la même façon !

    Petit rappel ! Pour la vinaigrette - pour six personnes et une bonne salade, on mettra six cuillères à soupe d'huile de tournesol et trois cuillères à soupe de vinaigre, une cuillère à café de moutarde et saler/poivrer puis mélanger !

    Nous avons réalisé ces hamburgers et sa salade d'accompagnement François et moi !

    Damien et Sylvie se sont chargés du dessert, à savoir un Crumble poires -chocolat !

    Crumble poires - chocolat :

    Temps de préparation : 30 minutes
    Temps de cuisson : 30 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 4 poires
    - 125 g de chocolat noir
    - 120 g de farine
    - 50 g de cassonade
    - 100 g de beurre 1/2 sel + 10 g pour beurrer le moule
    - 15 g de poudre d'amandes
     

    Préparation de la recette :

    Mélanger, la farine, le beurre, la cassonade et la poudre d'amandes jusqu'à obtention d'une pâte sableuse. Mettre au frais pendant 30 mn.
    Beurrer un plat à four et y déposer les carrés de chocolat.
    Ebouillanter les poires 20 secondes, les peler et les couper en quartiers.
    Les placer sur les carrés de chocolat.
    Sortir la pâte du réfrigérateur et la répartir sur les poires et le chocolat.
    Mettre au four à th°C 6-7 pendant 30 mn.
    Servir tiède.

    Voilà, comme d'habitude, c'était très bon !

    J'ai oublié de préciser que ces Atelier cuisine durent - trajet en voiture (10 km) et dégustation et vaisselle comprise,  de 17 heures 30 à 21 heures, soit - faites le calcul ! - trois heures et demies - et pour un budget de 25 euros pour six personnes !

    On envisage de prendre des photos de nos préparations une prochaine fois car les photos que j'utilise jusqu'alors proviennent du net ! Cela vous donnera une meilleure idée du résultat et de ce qu'il est possible de faire !

    Bon appétit et à bientôt !

    PS : N'hésitez pas à laisser des commentaires si vous testez une de ces recettes !


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  • Voici une nouvelle "fournée" de citations diverses soumises à votre sagacité - pour méditer autour de la cheminée !

    • Henri Ford

    «Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin. »

     

    • James Ellroy

    « Les intérieurs sans cadavre vous hantent. Ils vous obligent à deviner la nature du crime. »

     

    • Chateaubriand

    « L'homme n'a pas besoin de voyager pour s'agrandir; il porte avec lui l'immensité. »

    • Jules Renard

    « Quand je pense à tous les livres qu’il me reste à lire, j’ai la certitude d’être encore heureux. »

     

    • Matisse

    « On ne peut s’empêcher de vieillir mais on peut s’empêcher de devenir vieux. »

     

    • Honoré de Balzac

    « Si la presse n’existait pas, il faudrait ne pas l’inventer. »

     

    • Marcel Duchamp

    « Le grand ennemi de l’Art, c’est le Bon Goût. »

     

    • Colette

    « La meilleure façon de résister, c’est encore de succomber. »

     

    • Voltaire

    « Clément Marot a ramené deux choses d’Italie : la vérole et l’accord du participe passé… Je pense que c’est le deuxième qui a fait le plus de ravages. »

     

    • Oscar Wilde

    « Une carte du monde qui n’inclurait pas le pays d’Utopie ne mérite pas qu’on y jette ne fût-ce qu’un coup d’œil, car c’est omettre le seul pays sur lequel l’humanité ne cesse de débarquer. »

     

    • Montaigne

          « Il vaut mieux une tête bien faite qu’une tête bien pleine »

     

    • John Locke

           « Montrer à un homme qu’il se trompe est une chose, lui fournir la vérité en est une autre … »

     

    • Emil Cioran

    « Avoir commis tous les crimes, hormis celui d’être père. »

     

    • Soren Kierkegaard

            « Faire, non pas devenir, faire, et en faisant, se faire. »

     

    • Feydeau

    « La courtisane, c’est un billet en circulation qui a d’autant plus de valeur qu’il y a d’autant plus de signatures dessus. »

     

    Des Citations à foison - XIV - Spécial Hiver 2016 - 2017

     

    Sur ces bonnes paroles, je vous dis à bientôt !


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  • C'est confortablement installé dans ma nouvelle chaise de bureau que je rédige ce nouveau billet sur un Atelier Cuisine ! Déjà la Séance 4 de cette Saison 2 spécial Epiphanie !

    Un Atelier Cuisine encore une fois encadré par Marie avec comme participants, moi, François - qui remplace Luc, Damien, Chrystelle et Sylvie !

    Au menu, salade de concombres à la crème façon polonaise, escalopes de poulet à la Normande et galette des rois à la frangipane !

    Je vous donne ici toutes les recettes hormis celle des escalopes normandes - que je garde sans doute pour une autre fois !?

    Concombre à la crème (Pologne)

    Temps de préparation : 15 minutes

    Temps de cuisson : 0 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 2 concombres
    - 20 cl de crème liquide
    - 1 cuillère à soupe de vinaigre d'alcool
    - ciboulette
    - sel et poivre

    Préparation de la recette :

    Peler et couper le concombre en rondelles, puis le faire dégorger.

    Mettre les rondelles de concombre dans un plat, ajouter la crème, le vinaigre, du sel et du poivre, autant de ciboulette que vous le désirez.

    Comme vous voyez, c'est assez simple !
     
    Le dessert maintenant !
     
    Galette des rois à la frangipaneAtelier Cuisine - Saison 2 - Séance 4
     

    Temps de préparation : 10 minutes

    Temps de cuisson : 20 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) : - 2 pâtes feuilletées
    - 140 g de poudre d'amandes
    - 100 g de sucre fin
    - 2 oeufs
    - 75 g de beurre mou
    - 1 jaune d'oeuf
    - 1 fève
     
    Préparation de la recette :

    Placer une pâte feuilletée dans un moule à tarte, piquer la pâte avec une fourchette.
    Dans un saladier, mélanger la poudre d'amandes, le sucre, les 2 œufs et le beurre mou.

    Placer la pâte obtenue dans le moule à tarte et y cacher la fève.

    Recouvrir avec la 2ème pâte feuilletée, en collant bien les bords.
    Faire des dessins sur le couvercle et badigeonner avec le jaune d’œuf.

    Enfourner pendant 20 à 30 min à 200°C (thermostat 6-7); vérifier régulièrement la cuisson !

    C'est moi même et ma collègue Sylvie qui avons réalisé la galette et c'est Damien qui a eu la fève !

    A raison d'un groupe de cinq personnes et 5 euros par personne, nous avons pu réaliser ce repas pas cher et très bon !

    Rendez-vous dans un mois pour le prochain Atelier Cuisine - Spécial Chandeleur !- où nous ferons donc des crêpes et des galettes !

    A bientôt !


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  • Je vais maintenant vous parler un peu de ma "Trajectoire" et plus particulièrement de mon parcours scolaire et universitaire !

    Pour alimenter ce blog, je lis beaucoup, je regarde beaucoup de films et de séries, bref jeTrajectoires Eclectiques N°2 tente de m'instruire ! Je ne prétends pas avoir une culture phénoménale néanmoins je pense que je suis un peu au-dessus de la moyenne en ce domaine ! En vérité, je suis boulimique de savoir tout en ayant bien conscience que la culture ne nous rends pas forcément meilleurs - par exemple, certains nazis étaient très cultivés !

    Dans la même logique, je suis très attiré par les études dans le cadre de l'institution universitaire ! Mes proches ne comprennent pas toujours cette démarche voyant plus le côté pragmatique - avoir un job ! - que le point de vue de l'enrichissement personnel ! Il est vrai cependant que je suis aussi en bonne partie autodidacte !

    A l'origine, je suis parti avec un Bac D - l'ancien Bac S filière biologie ! Puis, j'ai fait des études de biologie avant de dédoubler mon cursus à partir de la Licence en Licence de biologie cellulaire et physiologie d'une  part et d'autre part, Licence de Biologie moléculaire et neurosciences ! A ce moment là de me vie, je pensais faire de la recherche en neurosciences... Hélas, je fut recalé à l'entrée du DEA par des profs bornés et obtus sous prétexte que j'avais 25 ans et donc "trop vieux pour la science" ! Les mêmes qui m'ont recalé qui sont ceux qui viennent sur les plateaux télé pour essayer de convaincre les jeunes de faire des études scientifiques !

    En réalité, comme a pu me le confirmer ma sœur qui travaille dans la recherche mais aux États-Unis, la recherche française - CNRS en tête - ce sont une "bande de rigolos", une caste qui s'autopromeut et s'autoreproduit ! Du moins ans les sciences dures car dans les sciences humaines n'ai pas encore été confronté aux cas ! Un peu comme la mafia mais l'honneur en moins !

    Et je ne parle même pas du niveau culturel des chercheurs ! La logique de l'enseignement veut que l'on s'ultraspécialise, bref qu'on se mette des œillères ! Cela donne de jeunes chercheurs qui n'ont aucune culture générale ou très peu sorti de leur domaine d'études ! Je disais plus haut que je ne savais pas si j'étais réellement "cultivé", je le suis en tout cas plus que ces types blasés qui ne pensent qu'à leur plan de carrière ! Si, il y a quelques figures cultivées, les Etienne Klein, les André Brahic, les Hubert Reeves - qu'on mets en avant dans les médias et qui ont 40 ans de carrière - mais c'est la minorité et l'exception !

    Donc je fis ces études de biologie/biochimie de 1990 à 1997 ! Ensuite, de 1998 à 2007, je me confrontais au monde du travail, avec des périodes de creux/chômage, travaillais comme animateur scientifique - où je renforçais ma connaissance de l'Histoire des Sciences et mon sens de la vulgarisation ! Et aussi pas mal de jobs alimentaires !

    En 2007, j'obtins un poste que j'occupe encore actuellement et reprenais mes études tout en étant salarié ! Je faisais un cursus de Lettres modernes de 2007 à 2013 ! Puis deux années sabbatiques au niveau études seulement !

    Ces études de Lettres se conclurent - provisoirement ? - par des mémoires sur Louis Aragon et Paul Valéry ! En effet, j'avais pris goût à la lecture depuis fin 2005 - ou 2006 ? Je réalisais que ce que je voulais en faisant de la recherche en biologie, c'était plus fournir des papiers, le plaisir de la rédaction que le travail de la paillasse ! En un sens, les chercheurs avaient eu raison de m'écarter du DEA même si ils ne le firent pas pour les bonnes raisons mais selon des motifs clairement discriminatoires qui aujourd'hui les conduiraient devant les tribunaux pour peu que je puisse le prouver  - à savoir la dépression nerveuse que je traversais en 1992/1993 !

    Je trouvais ce plaisir de l'écriture dans mes études de Lettres, dans la rédaction de nouvelles et dans le travail en bibliothèque et rencontrais des professeurs et enseignants- chercheurs qui me paraissaient plus compréhensifs et humains que ceux de biologie  - En même temps, leur ai caché ma dépression qui remonte à plus de 15 ans et dans la même configuration , la plupart de ces chercheurs travaillent aussi au CNRS ! Il est vrai aussi que dans les sciences humaines, il n'y a pas des enjeux économiques ou des vies humaines dans la balance !

    Après ces études de Lettres que je terminais avec une mention Bien et après un "repos" relatif de deux ans - où je continuais à lire beaucoup et était plus actif sur mes blogs, je commençais des études d'Histoire et de Philosophie en double cursus depuis septembre 2015 ! J'y suis encore !

    A terme, je voudrais aller au bout de cursus d'Histoire, de Philosophie et aussi de Sociologie et de Psychologie ! Bref les sciences humaines me bottent ! C'est possible aussi par le fait que mon patron de permets d'aménager mon emploi du temps, que je suis certains de ces cours par correspondance aussi !

    Et évidemment, j'adore la trans/pluri/interdisciplinarité ! L'intelligence, ce serait selon l'étymologie, "relier" des choses qui n'ont apparemment pas de lien (sans tomber dans le délire hein !) - mais il parait que c'est une fausse étymologie ! "Relier" des faits séparés - dans le génie ou la folie ?

    A un moment, je compte m'engager dans un doctorat au moins de Lettres - si je n'ai pas la même désillusion qu'en biologie ?! Ou un travail pluridisciplinaire ? J'ai déjà des idées de sujets ou de champs d'études : la Grande Guerre, l'Epistémologie??? J'hésite encore !

    Et après mes 65 ans - et la retraite ? , pourquoi pas l'Université Inter-Âge ou l'Université Populaire du coin !?

    A bientôt !


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  • Aujourd'hui, je vais vous parler de la genèse de trois de mes passions, pour les comics Marvel, pour Star Wars et enfin, pour les séries télé !

    Marvel et moi, c'est une histoire qui remonte en 1978 pour moi ! A l'époque, j'étais allé voir les tous premiers films de Spider-Man - ceux qui dataient de la fin des années 1970 - bien avant les opus de Sam Raimi donc ! C'était également le temps de la série Hulk avec Bill Bixby et Lou Ferrigno ! Je participais d'ailleurs à un concours sur le Titan Vert et gagnait des lots ! Mon premier magazine sur les super-héros fut un Strange ! Je crois bien que c'était le numéro 131 ou par là ! Tous les mois, j'allais ensuite retrouver les aventures de Daredevil, Iron Man, Spider-Man et Rom, le chevalier de l'espace ! Par la suite, j'achetais toutes les revues des Editions LUG : Strange, Titans, Nova, Spidey, Special Strange et les albums des Fantastiques, de l'Araignée et des X-Men ! Je devais poursuivre cette collection jusqu'en 1986 ou par là où je passais à autre chose, l'informatique et les jeux vidéos (Atari ST) notamment !

    Après un bref épisode en 1995 - où je suivais la série passée chez Semic : "L’Ère d'Apocalypse" - je ne repris réellement les comics Marvel qu'en 2005 - soit après une pause de plus de 20 ans qui avait vu notamment passer l’Ère Jim Lee ! Les revues étaient passées dans le giron de Panini - connu pour ses albums d'images autocollantes ! J'avais été engrainé lors d'un séjour en formation à l'AFPA par un certain KGBen qui faisait notamment des traductions sur les éditions de Superman pour Semic ! Je retrouvais donc l'univers Marvel à partir d'Avengers Disassembled et House of M ! Je n'ai jamais plus arrêté depuis !

    Mon histoire d'"amour" avec la saga de George Lucas - Star Wars - date de 1977 - ou plutôt de l'été 1978, date à laquelle je voyais "Un Nouvel Espoir" qui ne s'appelait pas encore comme cela - au cinéma de Ouistreham : Le Cabieu ! J'achetais par la suite les comics Star Wars - chez Marvel déjà !

    Mais en fait, n'ai commencé ma collection Star Wars qu'en 1987 - avec le jeu de rôles de West End Games - traduit par Jeux Descartes ! Au début, je me limitais à accumuler les livres de ce jeu de rôles - et allait même jusqu'à descendre à la boutique "L'Oeuf Cube" à Paris Jussieu avec mon grand-père pour avoir les dernières publications en VO - ce qui me permit en passant d'acquérir un bon niveau en anglais !

    Puis, en 1991, sortait coup sur coup le roman "L'Héritier de l'Empire" et la BD Dark Horse "L'Empire des Ténèbres" - lancement de l'Univers Étendu véritablement ! J'élargissais ainsi le scope des produits Star Wars que je collectionnais !

    En ce qui concerne une autre de mes passions, à savoir les séries télé - avant Lost et Game of Thrones, et bien que je ne connus pas de véritable engouement pour X-Files, cela a véritablement commencer avec Buffy contre les vampires  et Stargate SG-1 ! En fait, à cette époque, c'était en 1997, alors que j'étais étudiant en cité U, je ne tombais sur ces deux séries que par hasard et prenait les deux saisons 1 respectives qu'en cours ! Par la suite, je devins accro et suivis chaque rebondissement de ces deux séries, notamment en achetant toute la presse spécialisée qui leur était consacrée !

    Voilà, un échantillon de mes passions ! Cela fait-il de moi un geek pour autant ?

    A bientôt !


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  • La gastronomie est de retour avec ce "Nouvel Atelier Cuisine". Après avoir délaissé notre petit groupe d'amis affairé aux fourneaux - pour cause de cours du soir à la fac ! - je suis de retour et participe à de nouvelles séances !

    Je nomme arbitrairement Saison 2 ces nouvelles soirées cuisine avec une nouvelleAtelier Cuisine - Saison 2 - Séance 1 configuration : 5 personnes et une encadrante au lieu de 10 personnes et deux encadrantes !

    On retrouve donc moi, votre serviteur, ainsi que Sylvie, Luc, Damien P. et Christelle ! Encadrés par Marie qui a conçu le repas de ce soir !

    En entrée, avocats garnis au thon - je ne mets pas la recette...

    Puis courgettes farcies à la ricotta et aux lardons et enfin tarte chocolat-poires facile !

    Voici les recettes maintenant !

    - Courgettes farcies à la ricotta et aux lardons

    Temps de préparation : 20 minutes
    Temps de cuisson : 35 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 4 belles courgettes
    - 2 pots de ricotta (2 x 200 g)
    - lardons (150/200 g)
    - oignons
    - basilic
    - huile d'olive
    - parmesan

    Préparation de la recette :

    Faire revenir les lardons dans une poêle anti-adhésive.
    Couper les courgettes en deux dans le sens de la longueur. Les évider.
    Préchauffer le four 200°C.
    Mélanger la ricotta, l'huile d'olive, les lardons, le basilic, l'oignon.
    Farcir les courgettes avec cette préparation. Saupoudrer de parmesan.
    Mettre les courgettes au four pendant 35 mn sur Th 7.

    Remarques

    Servir avec du riz blanc parsemé d'huile d'olive.

    Et ensuite :

    - Tarte chocolat-poires facile

    Temps de préparation : 15 minutes
    Temps de cuisson : 30 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) : - 1 pâte sablée
    - 80 g de chocolat noir
    - 2 cuillères à soupe de lait
    - 3 oeufs
    - 6 cuillères à soupe de crème fraîche
    - 70 g de sucre
    - 1 grosse boîte de demi-poires

    Préparation de la recette :

    Faire fondre le chocolat avec le lait, dans une casserole (ou au micro-ondes).
    Ajouter 3 bonnes cuillères de crème fraîche, mélanger, et verser sur la pâte.
    Déposer ensuite les demi-poires sur le nappage.
    Mélanger les oeufs, le sucre et les 3 cuillères à soupe de crème fraîche restantes, puis le déposer sur le tout.
    Mettre au four pendant 30 min à thermostat 6 (180°C).

    Voilà, enfilez votre toque, à vos fourneaux, disposez la table et bon appétit !

    A bientôt !


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  • Ce dimanche, profitant du temps qui s'est dégagé sur le coup de 13 heures, j'ai effectué, avec un groupe d'une douzaine de personnes, une balade à Honfleur !

    Je suis déjà venu à Honfleur, 4 ou 5 fois, ai pu auparavant apprécier ses restaurants (plus d'une centaine !), visiter la Maison Erik Satie et son Naturospace ! Et aussi me promener dans le "parc des personnalités" !

    Promenade en bateau dans l'Estuaire de la SeineMais cette fois-ci j'avais rendez-vous au quai de la quarantaine pour embarquer sur le "Jolie France" et accomplir une promenade en mer dans l'Estuaire de la Seine, entre Honfleur et les deux ports du Havre, juste sous le Pont de Normandie !

    La balade dure 1 heure 30 et est commentée ! Pas trop de remous ou de vagues pour cette fois, hormis au moment du demi-tour sous le pont, lorsque le bateau se prends les vagues de front ! Mais notre pilote avait choisi de voguer près des côtes, là où la navigation est plus calme !

    Tout d'abord, on passe l'écluse du port de Honfleur, qui est en place depuis 1994 et fait de la ville un port de "pleines eaux" ! Le dénivelé peut aller de 4 à 5 mètres ! Il faut environ dix minutes pour franchir cette écluse ! On passe ensuite la tour radar et la capitainerie qui surveille le trafic et on entre dans l'estuaire !

    On prends la direction du Pont de Normandie ! A droite, nous laissons derrière nous Honfleur qui est une destination touristique très prisée, ville des Impressionnistes, ville bâtie au XIIème siècle avec son église Sainte Catherine toute en bois, la plus grande du genre en France !

    A gauche, derrière nous, le "Port 2000" qui fonctionne en collaboration avec le port du Havre ! Le port du Havre est le deuxième plus important de France derrière Marseille - mais si on ajoute "Port 2000", c'est en réalité le premier !

    A côté d'Honfleur, on aperçoit des quais le long de la Seine qui stockent du bois sur une longueur de 2 kilomètres ! En effet, 70% du commerce du port de la ville tourne autour du bois ! Des bois venus de l'Europe du Nord, Finlande, Danemark et Suède mais aussi de Russie - du sapin essentiellement ! C'est le deuxième port de France pour ce produit derrière Nantes !

    Le Pont de Normandie est un bel ouvrage d’ingénierie, inauguré en janvier 1995. De 1995Promenade en bateau dans l'Estuaire de la Seine à 1998, il fut le plus grand pont à haubans du monde. Quelques chiffres ! 2 kilomètres 200 de longueur, 214 mètres en haut des deux pylônes, 856 mètres de distance entre ces deux mêmes pylônes. Plus loin, on a également construit un viaduc. Le Pont de Normandie a supplanté le Pont de Tancarville que je prenais lorsque je venais en Normandie avec mes parents étant gamin !

    Aussi 186 haubans ou câbles qui font entre 95 et 475 mètres de longs pour 16 centimètres de diamètre ! Le pont pèse au total 22000 tonnes ! Il possède des ascenseurs réservés au personnel d'entretien, une nacelle permet à 12 à 15 ouvriers d'effectuer des réparations sans gêner la circulation ! Il est construit en béton et en acier avec 633 mètres d'acier en forme d'aile d'avion à l'envers pour résister à des vents allant jusqu'à 300 kilomètres/heures - on atteignit des vents de 217 kilomètres/heure, fin 1999 lors de la Tempête du Siècle ! On trouve de plus aux sommets des pylônes des signaux lumineux pour prévenir les avions et les hélicoptères ainsi que des antennes radio, télé et des instruments météo !

    Promenade en bateau dans l'Estuaire de la SeineDe l'autre côté par rapport à Honfleur, on a une large zone industrielle ! Les raffineries Total, les Usines Renault et EDF ! Le Havre est une ville important, de 180000 habitants, entièrement reconstruite après les destructions de la Seconde Guerre mondiale et classé au Patrimoine de l'Unesco depuis 2005 pour les construction d'Auguste Perret !

    En face, Honfleur ne compte "que" 10000 habitants - mais un nombre important et constant de touristes ! Nous avons terminé notre navigation en croisant quelques méthaniers et en longeant les plages ! Il est temps de rentrer au port !

    Une journée bien agréable au bout du compte !

    Promenade en bateau dans l'Estuaire de la Seine

    A bientôt !


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  • Ce soir, je ne vais pas faire de longue dissertation sur le sujet du jour - seulement vous donner les infos essentielles pour réaliser une sympathique petite balade si vous êtes en Normandie - en précisant que cette expérience des Vélorails, qui se vit plus qu'elle ne se discute, peut aussi être accessible partout ailleurs en France ! En effet, il y a tout un "réseau" de Vélorails sur tout le territoire de l'Hexagone !

    Les Vélorails de la Vallée de l'OrneAutrefois, avant Guerre et même dans les années 1950, il y avait davantage de lignes de chemin de fer en France ! Depuis beaucoup ont été désaffectées mais appartiennent toujours à la SNCF ! C'est sur ce réseau "secondaire" que les Vélorails se sont installés et vous proposent une expérience immersive unique au sein de la Nature !

    Il y a un Vélorail dans l'Orne qui longe une Voie Verte qu'on peut aussi parcourir à vélo ou à pieds, longe aussi la rivière Orne et la Forêt de Grimbosq, bref la Suisse Normande ! Il est aussi situé près du Pont du Coudray !

    C'est une "aventure" amusante à tenter en couple, en famille ou entre amis ! J'ai fait tout le parcours avec des camarades justement ! Ce "périple" - guère dangereux ! - fait 14 kilomètres et vous prendra à peu près deux heures ! Vous l'avez compris un Vélorail est une sorte de chariot sur rails avec deux jeux de pédales qui fournissent la puissance motrice au prix de quelques effort de votre part ! Surtout n'oubliez pas d’enlever le frein à main, sinon le dispositif montrera quelques résistances ! Le Vélorail dispose de 4 à 5 places dont deux qui pédalent à l'avant !

    A Coudray, il y a quatre départs par jour ! A 10 heures 30, 12 heures 40, 14 heures 50 et 17 heures - ouvert de mars à octobre en 2016 ! Le tarif de base est de 16 à 20 euros. La dame qui vous accueille est très gentille et donne toutes les consignes au départ !

    voilà, c'est l'été et c'est un loisir original dont il serait stupide de ne pas profiter ! Et pas besoin d'être de grands sportifs !

    A bientôt en Suisse Normande !


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  • Voilà, c'est fait ! J'inaugure ce jour une Newsletter dont le contenu pourra varier selon mon humeur ! Mais en premier lieu et en général, ce sera une présentation des articles à venir dans les prochains mois sur mes blogs ! La périodicité pourra être mensuel dans l'idéal !

    Pour le moment, je publie un numéro 0 en guise d'avant-goût car personne n'est encore abonné à la Newsletter, ni sur Overblog, ni sur eklablog où elle sera disponible ! N'hésitez donc pas abonnez-vous !

    Nous voici à l'été 2016 ! Dans les deux prochains mois, vous aurez droit à une ribambelle de nouveaux articles, certains étant des continuations de "séries" existantes - en particulier sur les séries de BD !

    Nous nous intéresserons aux séries-télévisées avec la trépidante Saison 5 d'Homeland, en prise directe avec l'actualité tragique au Proche-Orient puisqu'il est question de DAESH, de l'E.I. et de la Syrie en guerre !

    Une autre série-télé ou plutôt un anime sera mis à l'honneur puisqu'il sera question de la Saison 5 de One Piece - et peut-être aussi des Log 2 et 3 du manga ! Cette Saison précise est néanmoins d'un intérêt réduit puisqu'il s'agit d'épisodes de "remplissage" ou fillers ! J'y reviendrais !

    Peut-être aussi un billet sur la Saison 2 de Yu-Gi-Oh ! GX, nettement plus enfantin et naïf !

    Enfin, mais plutôt à la rentrée, il sera question de la série de Canal + : Maison Close où nous rentrerons dans l’alcôve !

    Maurice G. Dantec est décédé récemment, en 2016 ! On analysera un de ses romans de SF à la rentrée !

    On se baladera, avec un autre roman, dans le quartier de Saint-Germain-des-Près, sur les traces de Jean-Paul Sartre et d'incorrigibles joueurs d'échecs !

    Côté cinéma, on reviendra sur le poignant film, La Ligne Verte d'après une histoire de Stephen King !

    Si je fais un détour par ma bibliothèque préférée, je vous parlerai peut-être des "Sagesses Geek" (Star Wars, Star Trek, Game of Thrones, Doctor Who etc...) et vous entremettrai à cette occasion de mon appétence pour la culture sous toutes ses formes !

    On parlera BD évidemment avec Kookaburra, autre série de Crisse (Atalante, L'Épée de Cristal...). Et une petite place pour les tomes suivants de la Saison 10 illustrée de Buffy contre les Vampires !

    Enfin, sur eklablog et Overblog uniquement, j'ajouterai en les antidatant des billets en 2008 sur la Contre-Histoire de la Philosophie de Michel Onfray, le début d'une série chronologique sur la vie de George Lucas - pour compléter mes articles sur Star Wars, et enfin, dans le cadre de mes études de philo, le Discours de la Méthode de Descartes sera passé au crible !

    Cette liste n'est évidemment pas exhaustive et peut évoluer !

    A bientôt !


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  • Régulièrement, je consigne les pensées que m'inspirent notamment mes lectures philosophiques ou scientifiques voire l'actualité !

    En voici, une nouvelle fournée - après cela vaut ce que cela vaut !

     

    Être et avoir.

    Être et paraître

    Notre société contemporaine ne repose pas sur le dialogue mais sur le conflit !

    On veut casser la gueule à son voisin parce qu’il a une plus belle maison/voiture/femme !

    (24/08/2013)

     

    Peut-être parce que la pensée se déroule, et les idées se forment, à la vitesse de l’éclair, l’intellectuel a –t’il une meilleure idée – une impression - de la vitesse - rapide – du temps qui passe, et comme moi une angoisse de la finitude – la mort !

    (25/08/2013)

     

    La pensée ne peut englober toute la connaissance, ni l’esprit tout le réel !

    De plus, rôle trompeur de nos sens ! Préjugés ! Doxa !

    (25/08/2013)

     

    Au Moyen-Âge, on faisait de la glose sur les textes !

    Aujourd’hui, dans le cadre des mémoires et des thèses, on travaille sur des interprétations du réel – et des interprétations de fictions ! – et non sur le réel. Donc on fait encore de la glose !

    (31/08/2013)

     

    La transdisciplinarité est à la mode chez les chercheurs.. Et pendant ce temps, les ouvriers sont aliénés par la division du travail !

    (31/08/2013)

     

    La Division du Travail, au début du XXème siècle, a bouleversé les solidarités ouvrières ! Est-ce la Division du Travail qui a entraîné notre individualisme ? Je le pense !

    (31/08/2013)

     

    La complexification des systèmes augmente les possibilités de communication.

    Exemple : le vivant !

    (01/09/2013)

     

    La subjectivité naît-elle avec la souffrance ? Ou le plaisir ? Éros et Thanatos !

    Elle naît en tout cas avec la propriété des biens, et donc –étape intermédiaire – avec les affects que l’on en retire : jouissance ou douleur (manque) !

    Ensuite naît l’Histoire – contre le mythe !

    De nos jours, notre subjectivité s’exprime à travers le manque essentiellement !

    (02/09/2013)

     

    La Conversation ! La confrontation des idées ! La dialectique ?

    Née au XVIIIème siècle, la Conversation a engendré l’Encyclopédie (construction) mais aussi la Révolution (table-rase).

    Lorsque le dialogue est impossible naît la violence ! La diplomatie contre la Guerre (comme on le voit en ce moment en Syrie !).

    (15/09/2013)

     

    Et voilà, on se retrouve prochainement avec des citations !

    A bientôt !


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  • Depuis 2012, je participe à un Atelier Cuisine avec un groupe d'amis dans des locaux qui nous sont prêtés dans le cadre d'une association !

    Début juin 2015, a eut lieu le dernier atelier de cette saison ! Je ne sais pas encore si j'y reparticiperais en 2015 - 2016 ? Quoiqu'il en soit, je continuerais à cuisiner, équilibré si possible pour baisser mon cholestérol ! Je prévois notamment de faire la recette du flan antillais que ma Maman me faisait dans les années 1990 et quelques recettes que je faisais enfant avec les livres de la série "La Cuisine sans Maman" !

    Le menu de ce 25ème Atelier Cuisine fut : pamplemousses garnis, brochettes au barbecue et haricots verts et fraisier ! Humm, délicieux !

    Voici les recettes des pamplemousses garnis et du fraisier - tirées du site " Marmiton" !

    Pamplemousses garnis :

    Temps de préparation : 30 minutes
    Temps de cuisson : 0 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 2 pamplemousses (roses)
    - 12 cuillères à soupe de fromage blanc à 20%
    - 12 crevettes fraîches
    - 1/2 poivron rouge
    - 1/2 poivron vert
    - 1/2 poivron jaune
    - 1 oignon
    - ciboulette
    - sel, poivre

    Préparation de la recette :

    Couper les pamplemousses en deux (ils serviront de coupelle).
    Vider les pamplemousses en prenant soin de ne pas les abimer -Réserver.
    Couper les poivrons en petits cubes - réserver.
    Émincer l'oignon assez finement - réserver.
    Égoutter les crevettes, les laisser entières (si boîte), les couper (si crevettes fraîches).
    Dans un saladier, mettre le fromage blanc avec une pincée de sel, du poivre, de la ciboulette, mélanger.
    Dans le fromage blanc mettre :
    Le pamplemousse égoutté et coupé en petits bouts.
    Les cubes de poivrons.
    Les crevettes.
    Les oignons émincés.
    En garnir les 1/2 pamplemousse.
    Mettre au frais.

    Il est bien sûr possible de varier la garniture !

     

    Fraisier : Atelier Cuisine N°25

    Temps de préparation : 45 minutes
    Temps de cuisson : 25 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) : Pour la génoise :
    - 5 oeufs
    - 125 g de sucre
    - 30 g de farine
    - 70 g de maïzena
    - 1/2 sachet de levure
    - 1 pincée de sel

    Pour la garniture :
    - 35 cl de lait
    - 4 jaunes d'oeufs
    - 27 g de maïzena
    - 50 g de sucre
    - 150 g de beurre
    - 500 g de grosses fraises
    - 12 fraises des bois (pour la décoration)
    - quelques framboises (pour la décoration)
    - 200 g de pâte d'amande rose
    - quelques feuilles en pâte d'amande verte
    - 10 cl de sirop de sucre de canne
    - 4 cuillères à soupe de kirsch
    - sucre glace


    Préparation de la recette :

    Prévoir 6 h de réfrigération.
    Préchauffez le four à thermostat 6 (180°C).
    Battez les oeufs entiers avec le sucre dans un saladier. Placez le saladier dans un bain-marie modéré et continuez de fouetter le mélange jusqu'à ce qu'il triple de volume. Retirez du feu et continuez de battre jusqu'à refroidissement.
    Incorporez la farine et le beurre fondu. Versez dans un moule carré, beurré et fariné. Enfournez et laissez cuire 25 à 30mn.
    Démoulez la génoise tiède sur une grill.
    Portez le lait à ébullition. Battez les jaunes d’œufs et le sucre jusqu'à blanchiment du mélange, puis incorporez la maïzena. Délayez avec le lait, transvasez la crème dans une casserole à fond épais.
    Portez à ébullition et remuez 1mn.
    Hors du feu, incorporez le tiers du beurre coupé en morceaux avec la moitié du kirsch. Saupoudrez de sucre glace et laissez refroidir cette crème pâtissière.
    Battez au robot le reste du beurre en pommade, puis ajoutez peu à peu la crème pâtissière froide.
    Battez jusqu'à ce que le mélange soit lisse et homogène, puis faites-le raffermir 15 mn au frais.
    Lavez, séchez et équeutez les fraises. Réservez 5 cuillères à soupe de crème pour la finition.
    Découpez la génoise en deux dans le sens de l'épaisseur. Imbibez-la de sirop mélangé à 2 cuillères à soupe d'eau et au reste de kirsch.
    Posez un des carrés sur un plat, masquez-le de crème et posez les plus grosses fraises sur le bord, la pointe vers le haut.
    Continuez à garnir l'intérieur de fraises et couvrez-les de crème.
    Posez le deuxième carré de biscuit et tartinez le dessus avec le reste de crème.
    Placez le gâteau au frais, au moins 6 heures.
    Avec un couteau tranchant, coupez le tour du fraisier à la verticale, à 1cm de bord.
    Abaissez la pâte d'amande rose sur 2mm et recouvrez-en le dessus du fraisier.
    Décorez de fraises des bois, de framboises et de feuilles en pâte d'amande verte et rose.
    Servez le fraisier entier ou en parts.

    Voilà, je vous dit "bon appétit" et rendez-vous en septembre !

    A bientôt !


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  • Ce dernier atelier cuisine en date, toujours encadré par Jocelyne et Stéphanie, était à l’approche de l’été en partie un barbecue et nous avons fait cuire des merguez et des chipolatas ! Mais nous avons tout de même fait une entrée, un accompagnement et un dessert !

    Au menu :

    - Œufs Mimosa

    - Ratatouille (une recette que j’ai déjà faite !)

    - Clafoutis aux pommes et caramel beurre salé

    Voici sans plus attendre les recettes !

    Œufs Mimosa

    Temps de préparation : 25 minutes
    Temps de cuisson : 10 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 4 à 8 œufs (suivant l'appétit)
    - 1 petit bol de mayonnaise
    - quelques feuilles de laitue
    - persil haché
    - olives noires pour décorer les œufs (facultatif)

    Pour la mayonnaise :
    - 1 jaune d'œuf
    - 1 cuillère à café de moutarde
    - 1/4 litre d'huile
    - sel, poivre
    - un peu de jus de citron (facultatif)

    Préparation de la recette :

    Faire durcir les œufs 10 mn, puis les mettre dans l'eau froide.

    Monter une mayonnaise avec les ingrédients ci-dessus ou utiliser une mayonnaise prête vendue dans le Atelier Cuisine N°24commerce. Le jus de citron s'ajoute au dernier moment.

    Les œufs écalés, les couper dans le sens de la longueur, séparer les blancs des jaunes.

    Dans une assiette creuse, émietter les jaunes à la fourchette, mélanger la moitié de ces jaunes émiettés avec la mayonnaise et réserver le reste.

    Remplir les demi-blancs de cette préparation, puis saupoudrer chaque demi-œuf du reste de jaunes émiettés (ce qui fait le mimosa !!).

    Disposer les œufs sur des feuilles de laitue, mettre sur chaque œuf un peu de persil et une olive noire.

    Servir frais.

    Ratatouille :

    Temps de préparation : 25 minutes
    Temps de cuisson : 55 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 350 g d'aubergines
    - 350 g de courgettes
    - 350 g de poivrons de couleur rouge et vert
    - 350 g d'oignons
    - 500 g de tomates bien mûres
    - 3 gousses d'ail
    - 6 cuillères à soupe d'huile d'olive
    - 1 brin de thym
    - 1 feuille de laurier
    - sel et poivre

    Préparation de la recette :


    Coupez les tomates pelées en quartiers, les aubergines et les courgettes en rondelles. Émincez les poivrons en lamelles et l'oignon en rouelles.

    Chauffez 2 cuillères à soupe d'huile dans une poêle et faites-y fondre les oignons et les poivrons. Lorsqu'ils sont tendres, ajoutez les tomates, l'ail haché, le thym et le laurier.

    Salez, poivrez et laissez mijoter doucement à couvert durant 45 minutes.

    Pendant ce temps, préparez les aubergines et les courgettes. Faites les cuire séparément dans l'huile d'olive pendant 15 minutes.

    Vérifiez la cuisson des légumes pour qu'ils ne soient plus fermes. Ajoutez-les alors au mélange de tomates et prolongez la cuisson sur tout petit feu pendant 10 min.

    Salez et poivrez si besoin.

    Et pour finir

    Clafoutis aux pommes et caramel beurre salé :

    Temps de préparation : 25 minutes
    Temps de cuisson : 30 minutes

    Ingrédients (pour 4 personnes) : - 3 pommes reinettes
    - 80 g de beurre salé
    - 155 g de sucre roux
    - 2 pincées de cannelle
    - 4 œufs (2 entiers + 2 jaunes)
    - 1 sachet de sucre vanillé
    - 70 g de farine tamisée
    - 1 pincée de sel
    - 40 cl de lait entier

    Pour le moule (24cmx5cm) :
    - 20 g de beurre salé
    - 1 cuillère à soupe de sucre roux

    Préparation de la recette :


    Préchauffer le four à 200° (thermostat 6-7).

    Couper les pommes en petits quartiers dans une poêle à fond adhésif, les faire sauter avec 30 g de beurre salé, 1 cuillère à soupe de sucre roux et la cannelle pendant 5 minutes environ.

    Pendant ce temps, dans un saladier, assembler les 2 œufs entiers, les 2 jaunes, le reste de sucre roux (140 g) et le sucre vanillé.

    Battre ce mélange.

    Ajouter la farine et la pincée de sel puis fouetter.

    Verser le lait petit à petit et toujours en fouettant pour éviter les grumeaux.

    Beurrer le moule et y ajouter un peu de sucre roux. Répartir les pommes sautées au fond du moule puis verser la pâte par-dessus.

    Avec les 50 g de beurre restant, faire une dizaines de petites noisettes à répartir à la surface du clafoutis


    Faire cuire au four pendant 30 minutes.

    Servir ce clafoutis encore chaud.

    Je vous dis à la prochaine fois pour de nouvelles recettes !


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  • Aujourd'hui, nous allons faire plaisir aux gourmands en vous parlant d'une spécialité laitière de la Baie des Veys en Normandie, à savoir le Caramel d'Isigny !

    Isigny-sur-Mer est une petite localité au confluent de de l'Aure et de la Vire qui est surtout connue pour ses produits laitiers de qualité et sa coopérative dans ce domaine. Avant d'être desservie par le train au milieu du XIXème siècle, la ville était déjà un port, près des marais de Carentan, ce qui lui permettait d'exporter tous ses produits.

    Les caramels d'IsignyOn trouvait dans le port des "Bisquines" et des "Picoteux", des petits bateaux qui péchaient l'huitre - plate - de catégorie Ostrea edulis avant l'introduction de l'huitre japonaise !

    Les marais n'étaient pas favorables à la culture mais davantage à l'élevage et on créa la race normande, à la robe blanche, brune et noir - à ne pas confondre avec la hollandaise ou la montbéliarde qu'on trouve aussi dans nos près !

    Ce fut le célèbre Dupont d'Isigny qui lança la production de caramels - tendres/ au lait ou durs/ à la crème - qui pris son essor dans les années 1930.

    La recette du caramel - en carrés ou en papillotes - est simple sur le papier. On mélange à 125°C du sucre, du lait en poudre, de l'eau et du beurre. Puis on recueille et découpe sur des tables chaudes ou froides la pâte obtenue que l'on laisse refroidir en la découpant en petits morceaux dans des machines ! Le caramel d'Isigny bénéficie d'une A.O.P. ! Parmi les parfums : pomme, pruneaux, fraise, café, vanille, calvados...

    Cette fabrication artisanale vous est présentée au Musée des "Caramels d'Isigny", Rue du 19 mars 1962, ZA Isypole, à Isigny-sur-Mer. Si ce musée d'entreprise n'est pas très grand, il est en revanche très bien pensé et les hotesses présentes sont charmantes, compétentes et vous offrirons un caramel !

    C'est l'histoire du caramel, des produits laitiers, de l'huitre et de la pomme qui vous seront présentés !

    A voir pour seulement 3 euros par personne adulte !

    A bientôt !


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  • Suivant le modèle des Cahiers de Paul Valéry - mais en toute modestie - je consigne presque quotidiennement mes réflexions sur des sujets de sociétés et/ou qui donne à penser - en alimentant mes idées de mes nombreuses lectures !

    Je vous donne ici une première fournée de ces réflexions !

    Quel poids avons-nous – individuellement – face à l’Histoire, face à l’immensité du Monde, face à la Mort ?

    Ce sont ce genre de questions qui rendent fou ! En tout cas, moi, qui m’angoissent !

    Peut-être la solution est-elle à considérer les gens collectivement. Chacun apporte son petit effet à l’ensemble... Et les morceaux mis bouts à bouts…

    ??? – Ma perplexité !

    (04/07/2013)

    Qu’est-ce que la philosophie ? Est –ce celle de Monsieur tout le monde ? S’interroger soi-même sans préjugés ni connaissance préalable sur le monde ?

    Ou est-ce rebattre, comme le font les profs de philo, les concepts de l’Histoire de la philosophie ?

    Paul Valéry lui se voulait esprit libre et indépendant ! Je m’inscris dans cette démarche !

    (06/07/2013)

    Lire ne fait pas passer le temps moins vite mais le remplit !

    (10/07/2013)

    Des Réflexions à foison - IJ’ai plus de facilités à argumenter à l’écrit qu’à l’oral. Or le parler oral est déjà une forme d’externalisation – comme le support écrit.

    Longtemps réticent à l’idée de faire des exposés oraux – atténué en formation de Lettres – je constitue depuis plus d’une décennie une œuvre écrite qui est à son apogée avec mes journaux intimes et ces carnets !

    Parce que j’ai du mal à argumenter à l’oral, j’avais du mal au lycée à discuter par exemple, surtout avec les roublards !

    Et puis pour acquérir le savoir philosophique, il faut beaucoup lire !

    (17/07/2013)

    La Socialisation, c’est la captation de l’attention. Savoir se concentrer sur un objet !

    Chez les malades psychiques, il y a des troubles – souvent – de la concentration. Cela explique leurs difficultés d’intégration sociale.

    (17/07/2013)

    Je me dis que viendra un temps – fatalement lorsque je serais très vieux – où mon époque, celle où j’aurais vécu fera partie d’un passé révolu et je n’aurais plus de prise sur le présent. Cela m’angoisse par ailleurs !

    Il faut se consoler en se disant que ce présent nouveau à ses racines et ses origines dans ce passé révolu !

    A notre époque, on n’écoute plus les anciens et on se coupe de ses racines et de la terre !

    C’est aussi pour cela qu’il faut que je recueille le témoignage de la vie de mes ancêtres avant qu’ils ne soient plus là et que je l’incorpore comme une partie de mon œuvre écrite et/ou romanesque (à défaut l’inventer – c’est cela la littérature aussi ! - S’il est trop tard !).

    (17/07/2013)

    Voilà pour le moment... A bientôt !


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  • Voici, en ce mois de mai 2015, une nouvelle fournée de citations de personnages illustres à méditer !

    • Saint Augustin

    « Et les hommes s’en vont contempler le sommet des montagnes, les vastes flots de la mer, les amples courants des fleuves, l’immensité de l’océan, la cours des astres, alors qu’ils négligent de s’examiner eux-mêmes. »

    • Spinoza

    « Les hommes se croient libres parce qu’ils ignorent les causes qui les déterminent. »

    • John von Neumann

    « Si les gens ne croient pas à la simplicité des mathématiques, c’est seulement qu’ils ne se rendent pas compte de la complexité de la vie. »

    • Paul Gauguin

    « La vie étant ce qu’elle est, on rêve de vengeance. »

    • F. Kafka (dans une lettre de jeunesse)

    « Un livre est la hache qui brise la mer gelée en nous. »

    • Walter Benjamin

    « Convaincre est infécond. »

    • Allan Moore, légende des comics

    « Le rôle de l’artiste n’est pas de donner à son audience ce qu’elle attend de lui. Si le public savait ce dont il a besoin, il ne serait pas simple spectateur, il serait l’artiste. »

    • Hannah Arendt ; Condition de l’homme moderne

    « On peut parfaitement concevoir que l’époque moderne qui commença par une explosion d’activité humaine, si neuve, si riche de promesses, s’achève dans la passivité la plus inerte, la plus stérile que l’Histoire ait jamais connu. »

    • Yannick Haenel ; Jan Karski (Folio 5178) - p.168

    « Seule la solitude est digne d’amour, et lorsqu’on aime une personne, c’est toujours à ce qu’il y a de plus seul en elle que s’adosse cet amour. »

    Sur ces paroles sages, je vous dis...

    .... A bientôt !


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  • On commence l'année 2015 avec une nouvelle pelletée de citations que je dédie à Guillaume B.

    • Giuseppe Tomasi de Lampedusa

    « Tout écrivain se décrit soi-même, ainsi que sa propre vie, dans ses écrits. »

    • Frédéric Boyer ; Techniques de l’amour

    « Mais l’existence comme l’écriture ne tient qu’en la répétition d’une phrase volée à un autre. »

    • Gilles Deleuze

    « Dire je t’aime au lieu de dire je te désire, c’est se proposer une tâche infinie. »

    • Alain, Propos sur le bonheur

    « Comme la fraise a le goût de fraise, ainsi la vie a le goût du bonheur. »

    • Paul Valéry, Cahiers

    « - Écrire – pour se connaître – et voila tout. »

    • Louis Aragon

    « En vain, la raison me dénonce la dictature de la sensibilité. »

    • Mo-Tzu, philosophe chinois

    « Le sage doit rechercher le point de départ de tout désordre. Où ? Tout commence par le manque d’amour. »

    • Honoré de Balzac

    « Il n’est rien dans ce monde qui ne soit d’un bloc ; tout y est mosaïque. »

    • Baz Luhrmann, Moulin Rouge

    « La plus grande vérité qu’on puisse apprendre en ce monde est qu’il suffit d’aimer et de l’être en retour. »

    • Yasumari Kawabata, Prix Nobel de littérature 1968

    « La mort donne l’obligation d’aimer. »

    • Jean Mermoz, pionnier de l’aviation

    « Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le droit de réussir. »

    A bientôt !


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  • L'été 2014 se termine et comme moi, vous vous êtes peut-être régalés de glaces et de sorbets.... Revenons sur l'histoire de ces desserts !

    Histoire des glaces et sorbetsLes Perses connaissaient déjà les sorbets. Ce sont des desserts glacés à base d'eau et qui ne contiennent pas de lait. La consommation de glaces est attestée dans le monde gréco-romain où l'on concevait des recettes à base de miel et de jus de fruits refroidis dans des trous remplis de neige.

    Les Chinois ont aussi joué un rôle et Marco Polo ramena des recettes de glaces acquises lors de ses voyages en Extrème-Orient jusqu'en Italie et en Sicile. Le secret des Chinois permis de fabriquer des glaces toute l'année en utilisant du salpêtre mélangé à de l'eau. Les glaces furent d'abord en vogue sur les tables royales et papales jusqu'à une démocratisation à la fin du XIXème siècle lorsque l'on commença à développer la réfrigération moderne !

    Auparavant la glace était un produit de luxe réservée aux grandes occasions puis des vendeurs ambulants commencèrent à apparaitre avec les progrès technologiques ! Le café Procope, dans la deuxième moitié du XVIIème siècle est également demeuré célèbre pour ses produits glacés.

    Puis, les glacières permettent la conservation de ces desserts. Elles se multiplient en permettant l'essor de ce commerce qui devient le privilège des nobles par une loi de 1702.

    De nos jours, les glaces sont appréciées des petits et des grands et les artisans-glaciers inventent tous les jours de nouveaux parfums : sablés d'Asnelle, camembert, tomate, cola etc...

    Si vous êtes en Basse-Normandie, je peux vous donner l'adresse d'une boutique de glaces artisanales qui propose plus d'une soixantaine de parfums fabriqués avec la traite du matin : "Glaces de la Ferme de la Haizerie", à Vaux-sur-Aure. Alain et les vendeurs vous y reçoivent avec le sourire et les horaires sont les suivants :

    Magasin ouvert du mardi au vendredi de 15 h à 18 h 30, samedi de 10 h à 13 h et de 14 h à 17 h.

    Bonne dégustation et à bientôt !


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  • Il y a 80000 ans, une période glaciaire s'abat sur la planète et l'homme, à la pilosité déclinante, est amené à s'"habiller" de peaux de bêtes !

    Je vais maintenant vous parler de la soie, du lin, du coton, de la laine et du nylon.

    La soie ! Ce serait une princesse chinoise qui aurait découvert ce textile il y a 2500 ans lorsqu'un cocon tombé d'un Histoire des textilesmurier atterrit dans sa tasse de thé ! Notre princesse sollicite alors les tisserands et l'élevage du vers à soie peut commencer. C'est le début de la sériciculture.

    Selon Procope de Césarée, au VIème siècle après JC, deux moines apportent secrètement des œufs de ver pour les offrir à l'Empereur Justinien. en France, c'est sous le règne de Louis XI que se développe l'élevage du ver à soie.

    Le lin était cultivé dès l'Antiquité égyptienne, fibre dont on faisait des étoffes. On en a retrouvé des traces dans une tombe de 36000 ans, suggérant un emploi encore plus ancien. Les Égyptiens entouraient leurs momies de lin. La Reine Cléopâtre portait par ailleurs de la "Lingerie" dont l'étymologie vient du lin. Ce sont les Phéniciens, marchands de l'époque, qui l'exportent vers la Grèce et vers Rome.

    Hérodote rapport que les Indiens avaient une "sorte de plante qui produit, au lieu de fruit, de la laine plus belle et plus douce que celle des moutons". Le coton est cultivé depuis plus de 3000 ans. Des fibres de plus de 7000 ans ont été découvertes au Mexique.

    Au temps de la Conquête de l'Ouest, l'américain Lévi-Strauss utilise du coton pour créer le blue-jean. Au XVIIIème siècle, un pasteur et mécanicien britannique conçoit une machine capable de peigner et de filer le coton. Il s'attire l'hostilité des artisans qui détruisent une soixantaine de métiers à tisser. C'est la Révolte des luddistes.

    Le mouton est l'un des premiers animaux élevés par l'homme. Les Romains, lorsqu'ils occupèrent les îles Britanniques, au Vème siècle après JC, y implantèrent une usine de transformation de la laine. La laine devint un des produits majeurs de l'économie de l'Angleterre et la première source de revenus fiscaux d’Élisabeth Ière.

    Pierre Samuel du Pont contribua à la rédaction de la déclaration d"indépendance des Etats-Unis de 1776, Économiste et humaniste, il fut anobli par Louis XVI et devint du Pont de Nemours. Il fuit la Révolution Française en 1799 aux États-Unis. Son fils crée une société de chimie qui devient productrice de poudre à canon. En 1935, ses laboratoires mettent au point la fibre synthétique Nylon qui servira pour confectionner les parachutes de la Seconde Guerre Mondiale. Afin de cacher les parachutes ayant atterris en territoire occupé, les Résistantes iront se confectionner des vêtements dans cette matière !

    A l'heure actuelle, on envisage de créer des tissus avec des nanocapteurs permettant de jauger votre état de santé, voire des étoffes au pouvoir curateur. De même, la cape d'invisibilité d'Harry Potter pourrait un jour devenir une réalité !

    Voilà - je tiens à tirer un coup de chapeau à la revue L'éléphant dont les informations ci-dessus sont une reformulation de l'article "De fil en aiguille" dans le N°4 !

    A bientôt !


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  • Je vais maintenant faire un peu d'autopromotion !

    Depuis deux ans, je m'essaie à la cuisine. Certes, je n'ai pas le niveau des candidats de "MasterChef" - bien loin ! Mais cela m'amuse et me détends.

    C'est dans cette logique que je publie - et augmente régulièrement - sur inlibroveritas un "dossier" avec des recettes de cuisine que j'ai toutes testées.

    Je vous donne ici le lien "Ma cuisine à Ouistreham - Écrits culinaires vol.1"
    http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre33416.html

    Et je vous livre aussitôt la dernière recette testée - ces recettes sont tirées la plupart du temps du site et du magazine Marmiton.

    Pain de thon rapide :

    Temps de préparation : 20 minutes
    Temps de cuisson : 30 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) :

    - 3 œufs en omelette
    - 7 cuillères à soupe de farine
    - 24 cl de lait
    - 11 g de levure
    - 320 g de thon à l'huile
    - 100 g de gruyère râpé

    Préparation de la recette :

    Battre les œufs, ajouter la farine, le sel, le poivre. Mouiller avec le lait. Ajouter la levure, le thon émietté et le gruyère râpé.
    Mettre dans un moule à cake garni de papier sulfurisé et enfourner pour 30mn th°6/7.
    Servir tiède avec une sauce poivre.

    Bon appétit et à bientôt sur ILV !

    COMPTE A REBOURS : 8... (QUESAKO ?)


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  • Le costume masculin de la Belle Époque est dans la continuité de celui du dandy apparu au milieu du XIXème siècle. Il se compose de trois éléments essentiels : la veste, le pantalon et le gilet auxquels viennent se greffer divers accessoires que je me propose de passer en revue.

    Tout d'abord, il est inconcevable à cette époque, quel que soit le sexe, le milieu social ou la saison, de sortir dans la rue 300px-Montesquiou, Robert de - Boldinisans couvre-chef. il y a le haut-de-forme (avec un bord plus ou moins large), le chapeau melon (qui va supplanter le précédent), le canotier, en paille avec un ruban noir (porté à l'origine par les adeptes du "canotage" tant peints par les impressionnistes) et enfin la casquette (adoptée par les fonctionnaires et les ouvriers avant d'être l'apanage des gentlemen sportifs).

    Ensuite, il y a le faux col qui donne à une chemise l'aspect d'un linge fraichement blanchi et repassé. Il était en celluloïd ou en coton amidonné comme les manchettes amidonnées. Col et manchettes se fixent par des boutonnages. Le col recouvre la cravate.

    Le tissu utilisé pour les vestes a subit l'influence anglaise et des tenues du roi Édouard VII, la fameuse veste "en tweed" ou le tissu à carreaux de nuances grises et  soulignés d'un fin fil rouge, baptisé tissu "prince-de-galles".

    Parmi les accessoires indispensable à l'homme de la haute-société, tel qu'on le retrouve dans La Recherche  de Proust (ou encore dans les romans d'Edith Warthon), il y a la canne et la montre gousset. La canne est en jonc, surmontée d'un pommeau en agate ou en vermeil et donne une noble assurance à la démarche. La montre est logée dans la poche à gousset, reliée par une chaine fixée à la boutonnière qui dépassait souvent du costume sauf lors des soirées mondaines.

    Enfin, le gentleman porte un soin particulier à sa moustache. Il la poudre, la peigne, la lisse puis la pommade pour faciliter la fixation. Les cheveux, quant à eux, sont ondulés au fer et aussi pommadés.

    Voici notre dandy apprêté pour sortir dans le Beau Monde !

    A bientôt !


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  • Et oui, aujourd'hui ce blog souffle sa troisième bougie avec ce 242ème billet !

    Dans l'idéal, j'aurais voulu faire correspondre ce troisième anniversaire avec le 250ème billet ou avec le premier article des "Chroniques littéraires" volume 4 mais ça n'a pas été possible ! Je n'ai pas écrit assez de billets pour atteindre ce chiffre rond.

    De fait, le volume 4 des "Chroniques littéraire" devrait commencer d'ici Noël. J'ai pris un peu de retard par rapport aux années précédentes !

    Quels seront les prochains articles de ce blog ?

    A court, moyen ou long terme (c'est à dire probablement entre le billet 250 et le billet 300), il y aura The last days of american crime, Véronique Ovaldé, Emmanuel Carrère, Angel Saisons 3 et 4, Buffy Saison 7, un Amélie Nothomb (promis depuis longtemps)...

    Après la biographie de Zola et dès qu'elle sera finie, je commencerais la biographie d'Aragon qui m'a suivi tout au long de l'année universitaire 2010 - 2011.

    On continuera aussi des séries au long cours : l'histoire de la lecture, la philosophie, Le Louvre, les BD, les critiques de romans Star Wars. Concernant l'Histoire, le blog historia-drizzt laissé à l'abandon depuis plus d'un an devrait regagner du poil de la bête (suite de la série sur la Seconde Guerre Mondiale et début d'une série sur la Grande Guerre).

    Peut-être sera-t-il également question de Claude Levi-Strauss, de Michel Onfray, d'Albert Camus ? ....

    Voila, restez à l'écoute et ...

    ... à bientôt !


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  • COMPTE A REBOURS : 0

    "Obscurité totale

    Puis soudain une lumière aveuglante !"

    Et surgit sur over-blog le 200ème billet de biblio-drizzt, mon blog littéraire entamé en septembre 2008 !

    Voila une introduction assez étrange (mais qui me permet de reprendre un incipit que j'ai déja utilisé dans deux de mes nouvelles sur inlibroveritas et donc de faire du lien et des jeux d'échos) mais entrons plutôt dans le vif du sujet !

    Biblio-drizzt fête son 200ème billet et a par ailleurs deux ans et demi ! Que nous réserve l'avenir ?

    Je continuerais à chroniquer des lectures que je souhaite diverses et variées. J'ai également l'intention de poursuivre des séries commencées il y a quelques temps déja.

    Parmi celles-ci, une série de billet sur la Belle-Epoque, une série sur la Science-Fiction , une autre sur la philosophie (démarrée avec "philosophies de l'Inde et de la Chine", "les Présocratiques", Socrate, Platon, Aristote), une autre série sur la vie d’Émile Zola.

    FlamipucheDepuis janvier 2011, je me suis lancé dans une initiation au dessin. Et oui, j'essaie de manier le crayon et le papier Canson. Mon premier dessin représente une créature en forme de boule de poil que j'appelle un "flamipuche" en référence à un dessin-animé des années 80 et qui provient du livre "Le dessin pour les Nuls". Mon second dessin est un dandy issu du jeu de rôle "Chateau Falkenstein"*.

    Je me suis lancé dans la lecture de manière assidue en octobre 2005 et dans un cursusDandy de lettres en septembre 2007. il y a donc un certains nombre d'ouvrage que j'ai lu alors que je ne tenais pas encore ce blog !

    Dans un avenir à moyen ou long terme, j'ai l'intention de parler de ces lectures. Il devrait donc y avoir un jour un billet sur La Princesse de Clèves, quelques pièces de Molière et des articles sur des critiques littéraires.

    Voila que dire de plus, sinon que j'espère vous revoir pour le 300ème billet !


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  • Je vous propose aujourd'hui un panorama sur un thème littéraire très redondant dans l'Antiquité et qui touche à la Mort. Je tire ce billet d'après un article de l'historien de la philosophie Lucien Jerphagnon, La belle espérance, paru dans le magazine hors-série du Point 27H de mai-juin 2010 : Penser la mort - les textes fondamentaux.

    La descente aux enfers est un thème récurrent dans les lettres grecques et latines. Il apparait chez Homère dans le chant XI de L'Odyssée. Ulysse, après la Guerre de Troie, souhaite rentrer chez lui et pour cela il veut consulter le devin Tirésias. Mais celui-ci est mort et Ulysse est aidé par Circé la magicienne qui lui indique un passage vers les enfers par chez les Cimmériens pour aller retrouver le divin devin.

    Aux enfers, Ulysse rencontre Tantale et sa fringale, Sisyphe et son rocher. Il obtient des nouvelles de Pénélope et étreint sa mère. Puis il s'échappe discrètement.

    Vers 700 avant JC, les demeures des dieux de l'ombre (Hadès, Perséphone, Cerbère) sont évoqués dans la Théogonie d'Hésiode.

    Dans Les Sept contre Thèbes, Eschyle (526 - 456 avant JC) met les enfers sur scène et évoque l'Achéron.

    Dans Les Grenouilles (404 avant JC), Aristophane met en scène Dionysos, le dieu du théâtre qui cherche un poète. Pour en trouver un, il va aux enfers pour en ramener Euripide qui vient de mourir. On retrouve l'Achéron, Charon et sa barque et Aristophane multiplie les gags. On est donc passé du registre tragique au registre comique.

    Ces mythes seront repris par Platon (428 - 348 avant JC) dans ses dialogues, dans le Phédon, dans le Gorgias et dans La République.

    Le monde grec devient romain et les enfers perdurent.

    Avec l'Eneide, Virgile (70 - 19 avant JC) donne une suite à la série homérique. Enée, survivant de Troie, erre par le monde. Son père, qui réside à l’Élysée, lui apparaît en songe. Enée doit venir le voir et donc il traverse le fleuve Styx avec Charon, croise la reine carthaginoise Didon qui s'est suicidée.

    Virgile, dans la quatrième Géorgique, raconte la fausse joie d'Orphée aux enfers. On connaît le mythe d'Orphée et d'Eurydice.

    Dans Les Métamorphoses, Ovide (43 avant JC, 17 après JC) voit les ombres déambuler dans une ville aux mille avenues.

    Les Moralia de Plutarque relatent ce qu'a vu Thespesios, mort et ressuscité le troisième jour. Lucien de Samosate (120-180) raconte sa croisière à l'Ile des Bienheureux.

    Ainsi parlait-on des enfers au temps du monde romain mais y croyait-on ?

    Les mythes disaient tout, que la vie, la mort avaient un sens, que les bons étaient récompensés et les méchants punis.

    En réalité c'était l'affaire de chacun de croire ou de ne pas croire.


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