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Des Réflexions à foison - VI
Je vous livre ici à nouveau quelques unes de mes pensées ! Et oui ! Je réfléchis parfois !
Le Monde est dans notre Esprit.
(14/10/2013)
Pour accéder à des vérités supérieures comme une prise de conscience de son soi, il faut un « déphasage » ! Ainsi lors de crise, il faut un déphasage – recul - par rapport à la société (cas des marginaux, des précurseurs, des révolutionnaires…) et pour se connaître soi-même, la maladie mentale peut constituer ce genre de déphasage ! A condition d’un retour à la « normale » après ce déphasage. Prise de conscience puis retour critique !
(17/10/2013)
La souffrance apparaît avec la Vie et le mal avec l’Homme.
(18/10/2013)
L’individu est riche d’altérité. Sans même prendre en considération l’inconscient, on n’est jamais le même à aucun moment de sa vie et de plus, nous portons des masques sociaux en fonction de nos interlocuteurs !
(20/10/2013)
Ce sont les gens qui ne savent rien qui ont des certitudes.
La connaissance entraîne le doute
(Et le doute détermine la connaissance. Descartes ?)
(26/10/2013)
Comment appréhender Dieu et les intermondes ? Plus généralement l’Invisible ?
Il y a des choses que la science ne peut prouver car elle se base sur l’expérimentation et sur ce qu’elle voit ! Or ces choses précitées sont-elle des réalités … ou pas du tout du fait qu’on ne peut les « toucher » par nos sens, par une méthode empirique.
La science se fonde-t-elle sur l’empirisme. Sur l’observation oui !
Ressortent-elle donc à contrario de notre imagination ? Peut-on les former dans notre esprit comme des idées ?
Les idées de Platon. Idéalisme et empirisme. Idéalisme et matérialisme. Matérialisme et empirisme…
Un autre sujet à creuser !
(27/10/2013)
Pour être heureux, il faut croire en quelque chose de supérieur à soi.
L’Humanité !?
(28/10/2013)
Peut-on imaginer que la matière, l’Univers et tout ce qui est soit né du rien ?
Comment concevoir ce rien qui précède l’existence de l’Univers ? Dès lors qu’on tente de l’imaginer, on tente de se le représenter donc on donne une forme – et un nom – à ce qui n’en a pas !
Or le point zéro est indicible. Peut-être même – en tout cas dans l’état actuel de nos sciences – par les mathématiques !
(01/11/2013)
Sur ces mots - pleins de sagesse ? - que je livre à votre sagacité, je vous dis à bientôt !
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