• Smith, Tanner, Rowland... XIII accumule les identités et on s'y perds un peu ! C'est sûr la série d'espionnage de Vance et Van Hamme nécessite une gymnastique intellectuelle, ce qui n'est pas facile lorsque comme moi on lis chaque tome à un mois d'intervalle (mais je suis un homme très occupé !).

    Finalement, l'identité de l'amnésique semble se stabiliser sur le nom de Jason Fly. XIII a XIII - Tome 6 : Le Dossier Jason Fly - Vance & Van Hammeentrepris une psychothérapie visant à lui faire retrouver la mémoire et pour se faire, il se rend sur les lieux de son enfance tels que le décrit le dossier incomplet que le général Carrington a exhumé !

    "Jason Fly" / XIII arrive donc, en pleine saison hivernale, dans la ville enneigée de Greenfalls enquêter sur son passé et sur un drame qui s'est produit concernant son supposé paternel, le journaliste local Jonathan Fly, mort dans un incendie ! Or il semble que tout ceci cache un nouveau complot de second plan !

    Le notable Rigby possède tout Greenfalls et veut cacher des événements ayant trait à une "nuit du  3 août" (titre du prochain album !) et pour cela il est prêt à supprimer XIII venu remuer le passé !

    Parallèlement, la Mangouste refait surface avec ses tueurs et traque le lieutenant Jones en préambule. La belle noire rejoint Greenfalls en vue de donner un coup de main à XIII. Mais la Mangouste débarque aussi et XIII et Jones vont devoir fuir dans la vallée enneigée alors qu'une chasse à l'homme vient d'être lancée ! On se quitte sur ce cliffhanger haletant !

    Voilà, c'est certes une BD exigeante mais aussi de qualité ! XIII fait face à des crapules et des tueurs implacables et rien n'est terminé pour lui ! La série poursuit son chemin en maintenant le cap de révélations en révélations !

    A bientôt !


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  • Nous allons maintenant nous intéresser à la BD Star Wars : Conseil Jedi : Actes de Guerre, initialement publiée en France dans "Star Wars - La Saga en BD" de mai et juillet 2009 - numéros 19 et 20 et recasée tout récemment, en février 2016 - comme tome 2 de la trop brève série : "L'Ordre Jedi" chez Delcourt dans l'Univers "Légendes"!

    Il s'agit d'une histoire se déroulant peu de temps avant Star Wars - Episode I : La Menace Fantôme et qui Star Wars - L'Ordre Jedi - Tome 2 : Acte de Guerreimplique de nombreux membres du Conseil Jedi. Cette courte série est scénarisé par Randy Stradley et dessinée par Davide Fabbri dont j'ai déjà du dire quelque part qu'il était un de mes illustrateurs préférés.

    L'avant-poste de Mayvitch 7 est attaqué ! Les assaillants sont la belliqueuse race des Yinchorri, des hommes-lézards insensibles aux manipulations mentales des Jedi ! Ils sont déjà apparus brièvement dans un épisode du comics Star Wars par Marvel dans les années 1980 ! Palpatine exterminera leur race pour construire le centre d'entrainement de ses gardes rouges sur leur planète !

    Une douzaine de Jedi - dont pas mal de membres du Conseil - sont dépêchés dans ce système pour mettre fin à la menace ! On retrouve Mace Windu, Plo Koon, Qui-Gon Jinn et son apprenti Obi-Wan, Micah Giett, Lilit Twoseas, Adi Gallia, Eeth Koth, Tsui Cho, Theen Fida, Saesee Tinn et K'kruhk.

    Mais les Yinchorri sont en fait instrumentalisés par Dark Sidious qui une fois de plus tire les ficelles dans l'ombre ! Par l'intermédiaire d'un pion nommé Vilmarh Grahrk. On retrouvera ce Dévaronien en allié de Quinlan Vos dans sa propre série et on reverra aussi K'kruhk dans les séries Dark Times et Legacy ! L'Univers Etendu -"Légendes" - essayait donc bien de former un tout cohérent bien avant le Story Group !

    Des Jedi vont mourir dans la confrontation ! C'est le cas de Micah Giett - qui sera remplacé par Ki-Adi Mundi au Conseil Jedi ! Il représente un des rares cas de personnage asiatique dans cet univers - bien avant les sbires du Kanji Club dans Le Réveil de la Force.

    Ce récit m'a bien enthousiasmé ! Il y a de l'action, des coups d'éclats des Jedi, des personnages divers et bien caractérisés! C'est joliment dessiné et superbement colorisé ! Je recommande !

    A bientôt !


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  • Revenons à la fin des années 1980 avec une série télé d'animation franco-américaine, M.A.S.K. - pour Mobile Armored Strike Kommand !

    C'est une production de Bernard Deyriès, Bruno Bianchi et Jean Chalopin (ce dernier l'homme derrière Ulysse 31 et Inspecteur Gadget avec sa société DIC !) qui compte 75 épisodes - 2 saisons - de 22 minutes, diffusés dès septembre 1985 aux États-Unis puis début 1986 en France dans l'émission La Vie des Botes !

    M.A.S.K.Cette série avait pour but de promouvoir une gamme de jouets, des véhicules transformables, mélange de concepts tels que Transformers et G.I. Joe ! Ce dessin-animé fut parmi les premiers à être sous-traité en Asie.

    Il s'agit de l'histoire d'un commando d'agents munis de masques et possédant des véhicules assez originaux qui luttent contre l'organisation ennemie V.E.N.O.M. (Vicious Evil Network Of Mayhem). Le groupe est dirigé par Matt Tracker et au début de chaque épisode celui-ci fait appel à un ordinateur pour sélectionner les candidats pour la mission ! C'est le grand moment du show : qui va être sélectionné ? Ce show est un "procédural" - c'est à dire qu'il suit toujours le même schéma narratif !

    Les aventures se déroulent aux quatre coins du globe !

    Parmi les engins et autres véhicules, on a Rhino un gros camion et Condor une moto volante ! Je vous parle de ces deux là précisément car je les avais en jouets ! Jouets aux très belles finitions mais assez chers !

    Et puis il y a Scott Tracker, le jeune fils de Matt et son robot T-Bob ! Les deux arrivent toujours à se mettre dans des situations périlleuses !

    Cette série a aussi donné lieu à un comics improbable et "What the fuck !" chez DC Comics !

    Pour ma part, j'aimais beaucoup cette série qui fut diffusée en remplacement de Jayce et les Conquérants de la Lumière ! Elle est disponible en deux coffrets DVD à l'heure actuelle !

    A bientôt !


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  • On reste dans la Seconde Guerre mondiale avec une coproduction internationale, Stalingrad, film de Jean-Jacques Annaud, de 2001, dans la mouvance des films de guerre hyperréalistes d'après Il faut sauver le soldat Ryan !

    En juin 1941, l'Allemagne nazie rompt le Pacte Germano-Soviétique en attaquant l'URSS. La progression des envahisseurs est inéluctable et trouve un tournant en 1943 avec l'apogée de la Bataille de Stalingrad qui prouve que les Allemands peuvent perdre !

    Stalingrad est un film de Jean-Jacques Annaud (Le Nom de la Rose, L'Ours...) qui retrace cette bataille et plus particulièrement le face à face entre deux snipers - tireurs d'élite - instrumentalisés par la propagande de leurs camps !

    Vassili Zaitsev est le jeune espoir de l'armée soviétique, dont le fusil fait mouche à chaque coup ! Il est interprété par Jude Law et est épaulé par Tania (Rachel Weisz vue dans les films de La Momie). Pour le contrer, les nazis font monter l'officier supérieur Erwin Konig (joué par le remarquable Ed Harris). On voit à travers ce personnage les motivations des soldats de l'armée allemande qui n'adhéraient pas forcément à l'idéologie nazie mais "suivaient le mouvement" et faisaient leur devoir - ce qui n'allège en rien leur responsabilité !

    Le film nous montre la traque réciproque des deux snipers dont chacun cherche à faire de l'autre une cible !

    Il y a aussi une histoire de rivalité - le fameux triangle amoureux - entre Vassili, Tania et le commissaire Danilov (Joseph Fiennes) qui va déboucher sur le pire ! A travers ceci, on voit le pouvoir que détenaient les promulgateurs de la propagande !

    Une histoire bien agencée, assez classique comme une tragédie grecque - et des scènes de batailles assez impressionnantes - du suspens aussi ! Et de la cruauté comme pour ces soldats soviétiques qui n'avaient pas le droit de reculer sous peine d'être exécutés par leurs propres chefs !

    Un super film !

    A bientôt !


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  • Le Mémorial de Caen est le plus illustre des musées des plages du Débarquement, inauguré en 1988 par François Mitterrand et Jean-Marie Girault. Il est un témoin de la mémoire et un jalon pour la paix !

    Il y a trois thématiques abordées au musée : la Seconde Guerre mondiale d'un point de vue global, le Débarquement et la Bataille de Normandie et l'après-guerre : la Guerre Froide ! Je vous renvoie par ailleurs aux articles que j'ai déjà produits sur ces sujets !

    Le Mémorial de Caen - Cité de l'Histoire pour la PaixLa Seconde Guerre mondiale a été une guerre totale qui fit 60 millions de morts dont plus de la moitié furent des civils ! C'est une première dans l'Histoire de l'Humanité. Le Musée revient sur les causes qui ont mené de la fin de la Première Guerre mondiale au début de la Seconde (Traité de Versailles considéré comme un "Diktat", crise économique...) puis montre l'extension du conflit de l'Europe au monde (avec les théâtres en Afrique du Nord, en Russie, dans le Pacifique). Il y a une très riche iconographie et de nombreuses pièces pour illustrer tout cela !

    Une page poignante de cette exposition est le sort dramatique réservé aux Juifs par les nazis : la Solution Finale. La France de Vichy a sa part de responsabilités là-dedans et ce n'est que dans les années 1990 que le Président Jacques Chirac a reconnu celles-ci ! Là encore des objets témoignent, des extraits de discours d'Hitler etc... Bref, c'est glaçant et on peine à imaginer l'horreur qu'ont vécu nos grands-parents dans ce temps-là ! C'est aussi cela le but du musée : transmettre aux plus jeunes et notamment aux lycéens !

    On nous parle aussi bien évidemment de l'effort de guerre, en particulier des Alliés qui finiront par reconquérir le terrain perdu, notamment à partir de 1943 et Stalingrad. Il est aussi question de la Résistance, de De Gaulle et de Jean Moulin !

    Enfin, un bilan de la guerre est dressé : pertes humaines et dégâts matériels mais aussi redécoupage du monde - à Yalta - et création de l'ONU, droit de vote des femmes en France.

    A vrai dire, j'ai effectué une visite du Mémorial de Caen dans le cadre de mes études de Philo, entre étudiants et lycéens ! En 1 heure 30, nous n'avons pu visiter que cette partie consacrée proprement au conflit - et encore en sautant de nombreuses pancartes tant ce musée est riche ! Je ne parlerais donc pas de l'expo sur la Guerre Froide qui fait suite à la WW2, ni celle sur le Débarquement proprement dit - mais j'aurais l'occasion de revenir sur tout cela dans le futur à l'occasion de films, de documentaires et de romans !

    Ma série sur ce conflit n'est par ailleurs pas terminée et reprendras un jour !

    A bientôt !


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  • Boba Fett est une figure emblématique de Star Wars, auréolé de mystère. Ce chasseur de prime apparaît pour la première fois en 1978 dans le Star Wars Holiday Special puis dans les Épisodes V et VI. Dans les années 2000, la Prélogie va revenir sur ses origines et nous les révéler !

    Star Wars - Le Côté Obscur - Tome 7 : Boba FettLe tome 7 de la série "Le Côté Obscur" est scénarisé par John Wagner (Judge Dredd, Docteur Who...) et dessiné par Cam Kennedy - qu'on a déjà vu à l’œuvre sur Star Wars : L'Empire des Ténèbres ! Ils nous livrent là un album "bad-ass" à la fois violent et plein d'humour noir !

    Dans ces deux histoires qui se font suites, Boba Fett fait ce qu'il sait faire le mieux : traquer des fugitifs ! Le chasseur de prime mandalorien affronte les frères Kooda, des brutes épaisses qui s'adonnent à la piraterie.

    Au point de départ, il y a Gorga le Hutt qui s’éprend d'Anachro la fille d'un rival. Il veut alors lui livrer le pirate Bar-Kooda et engage Boba Fett. Le Mandalorien s'arroge alors les services de Magwit, un magicien pour capturer la brute !

    Les choses se compliquent par la suite puisque Bar-Kooda a un frère, Ry-Kooda qui veut venger son aîné. Il enlève alors Anachro et Boba Fett doit délivrer la "belle" Hutt et éliminer la seconde brute, ce dont il s'acquitte de manière expéditive !

    Cet album est un peu à part dans la série par son style de dessin et son humour décalé ! Ça pique un peu les yeux en fait ! Par la suite, on aura d'autres récits sur Boba Fett et même sur son géniteur Jango Fett !

    A bientôt !


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  • En 1956, lorsque sort La Traversée de Paris, film franco-italien de Claude Autant-Lara, inspiré d'une nouvelle de Marcel Aymé, on n'est pas encore dans la Nouvelle-Vague. C'est La Traversée de Paris - Claude Autant-Larapourquoi ce film est emblématique du cinéma d'après-guerre car on voit bien que les rues de Paris sont des décors de studio ! Ce n'est que par la suite, avec Godard et Truffaut qu'on tournera dans des décors en extérieurs et plus dans des lieux reconstitués !

    La Traversée de Paris raconte le périple de Marcel Martin qui doit livrer un cochon découpé dans 4 valises au marché noir pendant l'Occupation allemande de la Seconde Guerre mondiale. Hors son associé s'est fait coincé et Martin va faire équipe provisoirement avec un certain Grandgil, pour se rendre chez Jambier, Rue Poliveau jusqu'à la Rue Lepic.

    Or Grandgil s'avère tout sauf docile. Il va soutirer une somme rondelette à Jambier en faisant un esclandre dans la célèbre scène de la cave ! Et oui, ce film c'est aussi l'occasion de se faire se rencontrer trois "monstres sacrés" du 7ème Art : Bourvil est le peureux Marcel Martin, Jean Gabin est le truculent Grandgil et Louis de Funès le retors Jambier ! Et des célèbres répliques :"Jambier, je veux 2000 francs !".

    Dans la nouvelle, Martin, le prolétariat, finit pas tuer Grandgil, la bourgeoisie mais dans le film, les deux compères se font arrêtés par la police allemande. Grandgil se sert de ses relations pour se tirer d'affaires mais Martin disparaît dans un camion.

    Les deux se retrouvent dans une gare des années plus tard où Martin, bagagiste, porte toujours les valises des autres ! Un film doux-amer donc et avec une certaine poésie !

    Voilà, ce film demeure un classique ! Ce fut un bon succès public ! Bourvil y croisait De Funès avant La Grande Vadrouille et Le Corniaud !

    A bientôt !


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  • Les Nuls se sont fait connaître dès 1987 avec leur premier programme court sur la chaîne Canal +, intitulé Objectif Nuls, les aventures spatiales improbables de l'équipage du Black Brouzouf ! Ils constituent avec Les Inconnus, un des grands groupes de comiques des années 1990.

    La Cité de la peur - Les NulsLes Nuls est à l'origine un quatuor : Alain Chabat, Bruno Carette (décédé précocément en 1989), Chantal Lauby (la maman de Jennifer Ayache, la chanteuse du groupe Superbus) et Dominique Farrugia.

    Le film La Cité de la peur - une comédie familiale sort sur les écrans en 1994, réalisé par Alain Berbérian d'après un scénario du trio comique. C'est aussitôt un succès public. Il raconte les méfaits d'un tueur en série, communiste de surcroît, apparu dans la série Z Red is Dead qui découpe des projectionnistes au Festival de Cannes ! A cette occasion, Jean-Pierre Bacri ou Eddy Mitchell font des apparitions dans le film des Nuls !

    Odile Deray est l'attachée de presse de Red is Dead et les meurtres autour du film attirent la notoriété ! Elle fait venir la star du film, Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et Serge Karamazov (Alain Chabat), un garde du corps professionnel. Pendant ce temps, le commissaire Bialès (Gérard Darmon) mène l'enquête !

    Les Nuls reprennent dans ce film les gimmicks de leurs émissions quotidiennes comme ABCD Nuls. Il doit être possible par exemple de retrouver ce con de Régis au détour d'un gag. L'humour est très marqué dans cette comédie, absurde souvent et poussé à outrance ! Jeux de mots, gags visuels, humour scatologique, tout y passe !

    Le film contient par ailleurs de très nombreuses références à la culture de genre : Terminator, Basic Instinct, BodyGuard, Pretty Woman... Des scènes cultes telle la séquence de la Carioca ou la partie bruitée à la bouche ! Plus de vingt ans après, ce métrage reste culte et un moment clé de la carrière des Nuls !

    Alain Chabat devait se faire par la suite une petite carrière au cinéma comme acteur et réalisateur (Didier, Gazon maudit...).

    A bientôt !


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  • Il est des jeux vidéo qui ont un tel succès que, comme les films au cinéma, ils sont déclinés en série et en franchise ! C'est le cas de Street Fighter ! En effet, nous sommes en février 2016 et Street Fighter V sort ces jours-ci ! Je souhaite d'ailleurs bonne chance à Joris qui se lance dans une compétition amicale de ce jeu !

    Pour ma part, j'ai surtout joué à Street Fighter II - The World Warrior - qui lança Street Fighters II - Capcomvéritablement la série en 1991. J'y jouais sur borne d'arcade Capcom et sur Atari ST.

    Le jeu fut aussi et surtout développé sur la Super Nintendo. On vous propose un véritable tour du monde du fighting. Vous avez le choix entre huit personnages jouables dans ce jeu de combat, prédécesseur des Mortal Kombat et des Tekken. Chaque héros possède son arsenal de coups spéciaux ! Ainsi, par exemple, Ken et Ryu, les Japonais, peuvent lancer des boules de feu !

    Vous avez aussi Honda, le Sumotori qui vous écrasera de tout son poids, Blanka, une espèce de monstre vert indonésien qui projette des éclairs et vous sucera le cerveau, Guile le Marine, Chun-Li la Chinoise aux formes affriolantes - une des premières icônes féminines du Jeu Vidéo - , Zangief le russe capable de rivaliser avec un grizzli et Dhalsim, l'hindou !

    Une fois que vous aurez battu chacun de ces adversaires, vous affronterez les 4 boss pour espérer terminer le jeu : Balrog, Sagat, Vega et Mr Bison !

    Le jeu en lui même - l'opus II sans même parler du III et suivants - connu plusieurs extensions et suites introduisant de nouveaux personnages ! Je me souviens de Camie, la copine de Guile incarnée par Kylie Minogue au cinéma ! Car en effet, ce jeu vidéo eu droit à une adaptation cinématographique avec Jean-Claude Van Damme en Guile !

    Un jeu super fluide, à la prise en main facile ! Pour preuve, moi qui ne suis pas un pro gamer, j''étais parvenu à atteindre Mr Bison le boss ultime, sans toutefois le battre !

    J'ignore ce qu'a donné la franchise par la suite, n'ayant jamais tester l'opus III et consorts !

    Street Fighter II est le premier jeu où un boxeur affronte un sumotori sans que cela paraisse décalé !

    "Let's Fight !"

    A bientôt !


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  • Léonard est une série de bande-dessinées mettant en scène un inventeur déjanté, inspiré librement de Léonard de Vinci. Ces albums reposent largement sur le burlesque, le jeu de mot et l'anachronisme.

    Léonard est un génie - Turk et De GrootLe premier tome est paru en 1977 : "Léonard est un génie". A l'origine, un inventeur apparait dans la série Robin Dubois puis Turk et De Groot, les deux auteurs, réutilisent ce personnage dans sa propre série !

    "Léonard est un génie" contient une quinzaine de gags allant de une à huit pages. Le graphisme n'est pas encore finalisé et les cases sont assez grandes. Le trait va s'affiner avec le temps - on constate le même genre d'évolution sur de nombreuses séries : Lucky Luke, Gaston Lagaffe...

    Léonard est un inventeur farfelu qui crée des objets en avance sur leur temps : la télévision avant l'invention des programmes, la voiture avant l'invention de la station service... Il se mets souvent dans des situations cocasses et invente les problèmes qui vont avec ses inventions comme le détournement aérien avec l'aéroplane !

    Dans ce premier tome, Léonard recrute le Disciple, véritable souffre-douleur ! Le chat et la souris ne sont pas encore présents de même que Mathurine ! La série va donc encore évoluer et compte en 2016 plus de 40 albums !

    C'est drôle, c'est assez enfantin et parfait pour de très jeunes lecteurs ! C'est irrévérencieux et déjanté !

    A bientôt !


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  • Predator est un film de S-F et d'action du réalisateur John McTiernan, sorti sur les écrans en 1987. Dans le rôle titre, Arnold Schwarzenegger, alors au sommet de sa carrière, crève l'écran ! Il incarne le mercenaire qui ne plaisante pas, Alan "Dutch" Schaefer.

    Une équipe de mercenaires est larguée en Amérique centrale pour retrouver un ministre kidnappé par desPredator - John McTiernan guerilleros. Mais ce qu'ils ignorent, c'est qu'un vaisseau alien a largué une nacelle qui contient un guerrier redoutable, le Predator.

    Les héros viennent facilement à bout des rebelles mais sont laminés un par un par le Predator, invisible dans la canopée et très dangereux. Il s'agit pour l'alien d'un défi, d'une chasse à l'homme. "Dutch" restera le seul survivant !

    Ce film est le premier d'une franchise, franchise qui partage le même univers que les sagas Alien et Prometheus. Les Predators croisent notamment les Aliens dans les deux films Aliens VS Predator.

    Jean-Claude Vandamme fut un temps engagé pour jouer le Predator mais cela se révéla peu concluant ! L'aspect du monstre est dû au spécialiste des effets spéciaux, Stan Winston.

    Ce film reste un intéressant mélange entre S-F, action et horreur !

    C'est à un véritable enfer vert que fut confronté Schwarzenegger, qui tomba d'ailleurs malade sur le tournage !

    A bientôt !


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  • Voici quelques nouvelles citations diverses et variées pour briller dans les dîners ! Attention toutefois à ne pas oublier de les méditer et de penser par vous-même car les citations sont un peu "de la culture en conserves" !

     

    • Paul Valéry

    « Nous sommes fait pour ignorer que nous ne sommes pas libres. »

     

    • Woody Allen

    « L’avantage d’être intelligent, c’est qu’on peut toujours faire l’imbécile, l’inverse est totalement impossible. »

     

    • SénèqueDes Citations à foison - IX

    « Ce n’est pas parceque les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parceque nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. »

     

    • Gaston Bachelard

    « Le Paradis doit ressembler à une bibliothèque. »

     

    • Coluche

    « On ne peut pas dire la Vérité à la télé, il y a trop de gens qui regardent. »

     

    • Jean Rochefort

    « Vous qui pénétrez dans mon cœur, ne faites pas attention au désordre ».

     

    • Victor Hugo

    « Dans l’opprimé d’hier, il y a l’oppresseur de demain. »

     

    • Albert Einstein

    « Notre époque se caractérise par la profusion des moyens et la confusion des autorités. »

     

    • Marguerite Duras

    « Se trouver dans un trou, dans une solitude totale et découvrir que seule l’écriture vous sauvera. »

     

    • Jim Morrison

    « Celui qui contrôle les médias, contrôle les esprits. »

     

    Sur ces mots plein de sagesse, je vous dis "à bientôt" !


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  • J'ai découvert Gaston Lagaffe lorsque j'étais enfant, à l’age de 10 ans, en classe de CM1 à l’École Étienne Marcel à Paris. J'avais en effet à cette époque une jeune institutrice Rock'n roll, en blouson et jeans, venant en moto et arborant un style baba cool ! Le gaffeur invétéré cadrait tout à fait avec cette jeune femme atypique !

    Gaston Lagaffe - Tome 7/ Gags N° 430 - 469 (1966 - 1967) - FranquinAbordons maintenant le tome 7 de la Collection Gaston chez Hachette qui contient les gags 430 à 469, cette fois tous en pleine page ! On est en 1967 par ailleurs année des 20 ans de Lucky Luke auquel Franquin et Gaston rendent hommage dans cet album !

    On commence à voir apparaître de nouvelles thématiques de gags récurrents : le courrier en retard, les costumes improbables pour le bal masqué et surtout le monumental Gaffophone, "instrument de musique" au son dévastateur pour les oreilles, inspiré à Franquin par des objets africains !

    De nouveaux personnages apparaissent également : toujours Lebrac qui n'a pas encore pris la place de Fantasio, la secrétaire de De Mesmaeker, et les amis de Gaston : Jules-de-chez-Smith-en-Face et Bertrand Labévue !

    Que les choses soient claires, Gaston n'est pas un fainéant ! En fait, il est tout simplement inadapté au travail de bureau ! Il sait faire preuve d'une énergie débordante pour concevoir en toute innocence des "plans" qui tournent invariablement à la catastrophe !

    On retrouve également dans cet album la voiture Ford T de Gaston Mademoiselle Jeanne, l'Agent Longtarin entre autre ! L'univers du gaffeur s'étoffe et Franquin fait décidément preuve d'une belle inventivité ! C'est pourquoi cette BD est un classique au même titre que Lucky Luke ou les Schtroumpfs également chroniqués régulièrement sur ce blog !

    A bientôt pour le tome 8 !


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  • Le Patient anglais est un film multirécompensé, sorti en 1996, qui a en effet obtenu neuf Oscars dont Meilleur Film, Meilleur Réalisateur pour Anthony Minghella et Meilleur Actrice dans un Second Rôle pour Juliette Binoche.

    Ce film est l'histoire d'une passion amoureuse qui finit tragiquement sur fond de SecondeLe Patient anglais - Anthony Minghella Guerre mondiale en Afrique du Nord. Au casting, outre Juliette Binoche, on retrouve Ralph Fiennes, dans le rôle de Laszlo Almasy, le "patient anglais", Kristin Scott Thomas est l’égyptologue, Katharine Clifton, l'amour du héros. Il y a aussi Willem Dafoe et Naveen Andrews, le Sayid de Lost.

    Laszlo est un explorateur hongrois qui travaillent avec les Anglais qui cartographient le désert - en vue de la guerre - et fait des fouilles archéologiques. Au début du film, un avion transportant une femme morte et piloté par le "patient anglais" est abattu. L'homme va être pris en charge par les services soignants alliés.

    En parallèle, on découvre l'infirmière canadienne Hana, qui quitte le front à la fin de la guerre et s'installe en Toscane, dans les ruines d'un monastère et prend en charge le "patient anglais" car c'est son devoir d'infirmière.

    Le film suit en parallèle la "convalescence" de Laszlo - condamné à périr à court terme - et les flash-backs sur son existence et son amour torride pour Katharine.

    A côté de cela, il y a Caravaggio (Willem Dafoe) qui recherche un traître qui a donné des cartes géographiques aux Allemands et cherche à se venger !

    On apprend en réalité vers la fin du film que c'est Laszlo qui a trahi par amour pour Katharine !

    La guerre est très secondaire dans ce film - en ce sens qu'on n'en suit pas le déroulement précis - mais a tout de même son importance puisque c'est autour d'elle que se noue le drame !

    C'est à la fois un film d'amour et de trahison qui ne se résume pas à une histoire de mari cocu ! Les dernières péripéties et le dénouement m'ont particulièrement convaincu !

    Un film à voir si vous aimez les "histoires d'amour qui finissent mal en général" !

    A bientôt !


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  • E.T. l'Extraterrestre est un film de Science-Fiction de Steven Spielberg, sorti en 1982 et qui reste associé pour beaucoup de gens de ma génération à la magie de l'enfance.

    Spielberg reprends la thématique qu'il avait initié dans Rencontres du Troisième Type, plus à destination duE.T. l'Extraterrestre - Steven Spielberg jeune public, avant bien plus tard dans les années 2000, les aliens agressifs de La Guerre des Mondes.

    Un vaisseau extraterrestre se pose en Californie, dans une forêt et suite à un "incident", repart en oubliant un de ces passagers. E.T. l'Extraterrestre se retrouve seul sur un monde inconnu et hostile, tandis qu'une équipe de chasseurs d'OVNI est sur ses trousses.

    La créature va croiser la route d'Elliott un jeune garçon (joué par Henry Thomas), accompagné de sa sœur Gertie (une très jeune Drew Barrymore, bien avant Charlie's Angels). On retrouve aussi au casting Erika Eleniak brièvement, une playmate des années 1990 et star d'Alerte à Malibu.

    E.T. n'a dès lors qu'un souhait : rentrer chez lui en "téléphonant Maison" !

    Elliott recueille E.T. et joue de stratagèmes pour le cacher au monde des adultes. Ce film, c'est un peu l'innocence de l'enfance face au monde des adultes. C'est aussi un hommage à la culture geek de Spielberg : parties de Donjons & Dragons, références à Star Wars...

    Comme d'habitude, c'est John William qui se colle à la musique ! Son thème principal est enchanteur et mémorable et illustre de très belles scènes/images comme celle du vélo d'Elliott volant dans les airs devant la lune !

    Un film multirécompensé - qui a d'ailleurs fait l'objet d'une version - Édition Spéciale - pour son vingtième anniversaire avec des scènes additionnelles !

    Un film attachant autour d'une créature au physique remarquable et au caractère non moins attachant !

    A bientôt !


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  • Nous retournons sur les terres de l'Ouest Sauvage avec le tome 7 des Aventures de Lucky Luke iLucky Luke - L'Elixir du Docteur Doxey - Morrisntitulé "L’Élixir du Docteur Doxey" et qui contient deux récits mettant en scène un médecin charlatan qui parcourt le pays pour escroquer les gens avec de faux remèdes !

    Même remarque que pour les précédents tomes, ce volume est une succession de gags articulés en un seul récit suivant un fil rouge, la traque de Doxey. Mais cette fois, les gags commencent à être un peu plus élaborés. L'humour s'affine tout comme le dessin !

    Le charlatan est un stéréotype de l'Ouest Américain. Dans ses albums, Morris aimera volontiers jouer avec ses stéréotypes et reprendre des images d’Épinal du Far-West : le train, le fil qui chante, le pénitencier, le steam-boat, le derrick, le klondike, la maison hantée etc... Chaque fois, l'auteur fait preuve d'une belle inventivité !

    Le deuxième récit de cet album de 1955 s'appelle "Chasse à l'homme". Cette fois, Doxey opère sans Scraggy son homme à tout faire ! Il provoque souvent les épidémies qu'il veut soigner et rêve malgré tout d'avoir les honneurs de la faculté de médecine

    Dans cet album, on commence - un peu - à caractériser Jolly Jumper bien qu'il ne "pense" pas encore à voix haute !

    Quelques personnages folkloriques parcourent cet album ! Le canasson alcoolique, les villageois somnolants etc... Encore deux albums et Morris sera épaulé par Goscinny dans "Des rails sur la prairie" ! En attendant, il nous reste encore à parler de "Phil Defer" ! Ce sera pour une prochaine fois !

    A bientôt !


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